Un rocher peut en cacher un autre…

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61 réponses

  1. AS77 dit :

    jolie travail bravo indiana voila des parcours touristique à mettre en place :-d)

  2. Clio dit :

    Quel fatras d’approximations destinées à nous faire croire qu’on aurait dénoué quelque mystère. Entre extraits d’anciennes « brochures » assez touristiques qui se vantaient d’avoir Le Rocher du coin, et photos prises dans les sous-bois très buissonnants d’imprécisions. Ha ha ha !

  3. jna dit :

    Belle balade ! Merci Indiana
    Je trouve que la confusion dans les « écrits des érudits » entre Crécy et Crégy est intéressante. Comme tu le fais remarquer et comme je le répète souvent, il ne faut accorder qu’une confiance relative à ces textes souvent le fruit de copier/coller plus ou moins bien faits qui non seulemenent reprennent à leur compte les théories de prédecesseurs dans l’exercice, mais parfois les enrichissent d’erreurs grossières pour mieux nous embrouiller.
    La confusion entre Crécy et Crégy est facile à faire, peut-être parce que ces noms ont une origine commune, à chercher quelque part dans les méandres des rivières : le Grand Morin d’un côté, la Marne de l’autre (le bras mort de Crégy). Mais bon à ce stade, ce n’est qu’un fantasme de ma part.

    Quant à la roche de Crécy … vu son aspect de tas de cailloux (avec le respect que nous lui devons) , je n’ai pas l’impression que l’on puisse en faire un lieu de pélerinage où de balade à la mode pour homme politique … j’ai bien pensé pensé à H. Morin à cause de son nom … mais bon, à part le correspondant de la Marne je ne vois pas trop qui ça intéressera. Trève de plaisanterie, elle pourrait quand même compte tenu du point de vue, et avec un peu de marketing autour (il faut entretenir un peu de mystère à la Indiana) faire l’objet d’un point de passage d’un des circuits pédestres balisés.

  4. Clio dit :

    Les articles de Jones sont toujours construits sur la même structure.

    Annonce ronflante en accroche publicitaire : les mystères sont dévoilés etc.

    Eléments imprécis et documents sortis de leurs contextes.

    Et surtout confusion entre l’esprit contemporain et l’esprit des époques concernées.

    Par exemple, un voyageur dit qu’il y a trois petites lieues jusqu’au rocher, et Jones les mesure avec ses dispositifs techniques d’aujourd’hui, il trouve 26 kilomètres. Ca ne colle pas.

    Tout simplement parce que le voyageur de l’époque n’a pas été rigoureux. Et alors, ça prouve quoi ? Rien !

    Et tout est construit comme ça, pour nous faire croire qu’il y aurait du neuf, quand rien ne change.
    Peut-être y avait-il vraiment un rocher à Crécy, peut-être appelait-on le rocher de Crégy « Rocher de Crécy ».

    Dans cet article rien de neuf. On apprend juste que l’impression de misère touristique est telle, qu’on voudrait créer de nouveaux lieux de mystère archéologique sous le moindre tas de cailloux insignifiant.

    Je connaissais les fashion victims, désormais il faut compter les Spielberg victims et les Dan Brown victims aussi.

    • Florence dit :

      Je lis toujours avec beaucoup d’intérêt les articles de ceux qui se donnent du mal pour nous, et le mal qu’ils se donnent pour nous m’inspire reconnaissance et respect.

    • georges dit :

      Il n’y a de hauteurs dans ce coin
      Que si peu, dont on peut faire foin!
      Mais pas tout à fait point…

      Or avant, douce Brie, que la Butte de Doue
      Soit réduite Elle-même à l’amas de cailloux,
      Ou prise pour un gros pétrolier tas de boue,

      Soulevons le moindre monticule,
      Tentons de voir Grand le minuscule!
      Petit rocher grotté n’y est point ridicule…

    • jms dit :

      Je vous trouve bien sévère avec notre ami;
      Même si son étude n’obéit pas aux règles académiques que seuls quelques spécialistes gardent jalousement, pour le commun des mortels que nous sommes, et sans être pour autant des idiots, le travail nous apparait remarquable et réellement on apprend quelque chose.

      S’agissant des 26 km, je crois que notre ami a commis une erreur, celle de prendre l’autoroute. Par les chemins les plus courts, ceux connus d’avant l’autoroute, Meaux est à moins de 15km.

      • Clio dit :

        Sur l’internet ça devient une habitude, autant d’auteurs et de journalistes qui poussent comme les champignons en une nuit. Et souvent, quand je consulte mon programme télé, j’y lis les accroches comme « Brad Pitt à l’hôpital », « Le mystère de Trucmuche enfin dévoilé » et on découvre à la lecture de l’article que Brad Pitt tourne un film dans un hôpital. Bref, l’annonce ou les premières lignes sont là pour nous tromper et nous faire perdre notre temps.

        Je ne vois pas en quoi « les mystères de Voulangis seraient enfin dévoilés après la lecture de l’article du Docteur-Professeur-HistoRien Jones.
        Ce doit être l’effet de l’orbe Dinseyland.

        Je vous trouve durs avec vous-mêmes quand vous tentez assez de trouver des pépites là où il n’y a que pétrification du lecteur.

        Mais j’avoue qu’on rigole bien avec ces masquarades historico-comiques.

      • Mrs_Jones dit :

        Vérification faite.
        Par les chemins de traverse, la distance qui sépare la place Saint-Etienne à Meaux et le rocher de Crécy (Serbonne) est de 23 km.
        Par l’autoroute, on est à 28 km.
        La distance mesurée le jour de l’expédition est donc correcte.

        • Clio dit :

          « Expédition » :

          expédition, nom féminin
          Sens 1 Action d’expédier. Chose expédiée. Ex Expédition postale. Synonyme accomplissement Anglais sending
          Sens 2 Envoi de troupes pendant la guerre [Militaire]. Anglais expedition
          Sens 3 Voyage scientifique ou touristique. Ex Expédition polaire. Synonyme voyage Anglais expedition

          OMG ! c’est l’Himalaya !

          • AS77 dit :

            alors miss CLIO à quand un bon article sur le passé historique de Crécy,point est difficile de rigoler et pourquoi pas de narrer

            • Clio dit :

              Ce ne sont pas les sujets qui manquent.

              Je tenterais bien de faire un papier sur le « Voayge en Allemagne » de Dunoyer de Segonzac pendant la guerre 39-45 . Ou comment cet artiste s’est compromis avec beaucoup d’autres à cette époque en visitant l’atelier de Arno Breker, l’artiste officiel du III ème Reich.
              Le père de l’acteur Belmondo, qui était sculpteur, a fait ce voyage avec Segonzac et Jean-Paul Belmondo tente depuis des décennies de restaurer l’image de son père sans succès. C’est un sujet très délicat, car Segonzac est encore bien présent dans les guides touristiques de l’art mais on omet de le présenter sous cet éclairage bien terne et plus réaliste.

        • jms dit :

          Trajet le plus court (par la route) : 17km (source : Viamichelin)
          16km si à pied

          • IndianaJones dit :

            Effectivement Jms, selon l’itinéraire choisi, la distance varie.
            Ce que je peux aussi ajouter, c’est que les 3 lieues mentionnées par le jeune voyageur ne collent pas pour se rendre à Serbonne, mais elles ne collent pas non plus s’il parlait de la roche de Crégy, qui est distante de 2 km de la place Saint-Etienne.
            Il y a des imprécisions dans ce texte, c’est certain.

            • IndianaJones dit :

              Petite rectification pour celui qui n’aurait pas compris. Il y a des imprécisions dans le texte « du jeune voyageur »… et pas dans cet article. 😀

              • Clio dit :

                Ce qui revient à dire que vous considérez que le témoignage du voyageur n’est pas dans votre article.
                Très drôle.

                Toutefois, quand vous le prenez ce témoignage comme seul élément de votre hypothèse, on est en droit de considérer que tout votre article est imprécision. Réfléchissez un peu !

      • jna dit :

        pour une fois, :-e) je suis d’accord avec jms.

  5. Clio dit :

    Je pense que l’actuel propriétaire du bâtiment du Couvent des Carmes devait bien connaître la nature des roches un peu ruinées qui bordent son fief. Et il apparaît qu’il y avait probablement plusieurs roches de cette nature. Donc, pas de mystère, pas de dévoilement, juste des recherches personnelles incluant les errances et imaginations d’avoir trouvé un fait historique énorme et érigées en travaux pseudo-archéologiques. C’est amusant et parfois drôle de naïveté.

    Ceux qu’on appelle des historiens locaux donnaient de plus amples et de plus sérieux travaux fournis de vrais dossiers complets.
    Mais notre époque se satisfait de petites vues rassemblées en des idées qui certainement ont tout de la promenade. On a le droit de ne pas s’en satisfaire. Et de ne pas entrer dans les rêveries d’un auteur, puisque le temps de cerveau disponible se raréfie à notre époque. On ne va quand même pas croire tout se qui s’écrit aujourd’hui sur l’internet, ce serait grand danger !

    Ce que je reproche à l’auteur, c’est qu’il relie les textes des historiens du passé (locaux ou non) et qu’il dévoie leur propos en les préemptant puis en y ajoutant ses interprétations intuitives et jamais vérifiées. De cette façon, il neutralise les textes passés et s’approprie leur légitimité, ainsi qu’il revêt ses trouvailles fantaisistes du prestige qu’il emprunte à ceux dont il déforme les propos.

    Pour ma part, je pense qu’il vaut mieux laisser les textes en l’état, jusqu’au jour où un véritable théoricien et chercheur saura en trouver des suites valables et utilisables en tant que connaissances vérifiées ou les plus probables.

    D’ailleurs, dans cet article, il n’y a pas un seul document visuel qui nous montre les objets dont l’auteur parle. Je n’ai vu aucune ancienne représentation visuelle ou graphique de ces rochers. C’est la preuve que ces recherches sont pleines de lacunes et incomplètes, elles sont de simples amorces d’un sujet qu’il faut entièrement explorer. Quand l’auteur parle de mystère dévoilé, on sent qu’il n’a pas pris la mesure du vrai travail d’historien.

    • AS77 dit :

      voila un début de trait de plume sur la façon d’étudier et de comprendre l’histoire 😉

    • jna dit :

      Cher ou chère Clio, vos interventions sont souvent très enrichissantes.

      Mais là j’ai comme dans l’idée que vous vous acharnez pour des raisons qui m’échappent sur Indiana.

      Quand nous ne sommes pas d’accord, nous essayons d’en discuter, de l’exprimer sans pour autant être blessants (encore que, pour être honnête … ce ne soit pas toujours le cas).

      Il manque parmi les auteurs du site quelqu’un capable d’effectuer, comme vous dites, un vrai travail d’historien. Nous l’attendons et nous l’acceuillerons volontiers, s’il se présente. Mais pour tout dire j’ai un peu peur que notre modeste support ne soit pas à la hauteur des ambitions d’un professionnel.

      En attendant, accordez-nous le droit d’explorer quelques pistes, de pousser quelques portes, de formuler des hypothèses qui ne s’appuient pas que sur des fantasmes.

      Il faut consacrer beaucoup d’énergie à la rédaction d’un article quel qu’il soit, il convient donc, à mon avis, de respecter le travail de celui qui se lance … ce qui n’empêche pas pour autant d’émettre des critiques constructives et de recadrer au besoin

  6. IndianaJones dit :

    Merci à tous pour vos encouragements.
    Ce récent déchaînement de passions à propos des articles dont je suis l’auteur fait oublier le but initial, qui est de faire découvrir à nos lecteurs des endroits insolites, dont la région regorge.
    Sur ce coup-là, je reconnais que l’accès à Serbonne n’est pas des plus aisé, et pas sans danger.

    Quand on est préparateur de commande dans une entreprise agro-alimentaire, ce n’est forcément pas le meilleur endroit pour partager ces histoires. Heureusement qu’il existe des lieux, réels ou virtuels, pour oser parler d’autre chose.

    Maintenant, on a pas tous la chance de vivre de sa passion ou de ses talents. C’est valable pour ceux qui ont de quoi vivre. Les autres, le commun des mortels, doivent d’abord penser à vivre.

    Alors oui, sans prétention, juste de façon un peu romanesque, histoire d’intéresser le lecteur, et de ne pas le noyer avec des concepts abstraits ou peu compréhensibles, nous prenons le temps de rédiger, narrer, rendre compte, avec plus ou moins de virtuosité. Mais on essaie, en tout cas.
    Je l’ai déjà dit, on est multicolores, et friands de sujets aussi différents que les hommes et les femmes que nous sommes.
    Que ça ne plaise pas à tout le monde ne m’empêchera en tout cas pas de continuer.
    A bientôt pour de nouvelles aventures…

  7. Clio dit :

    Tout ceci est typique de l’internet. Le matin, un auteur anonyme publie un article. Dans son contenu, il base son hypothèse sur un seul témoignage et hasardeux. Le témoin quitte Lagny en blâmant ses habitants puis il se rend à un rocher dans un lieu imprécis. On mesure la basse qualité du témoignage et unique. Quand la pratique historienne ou archéologique s’apparente à une véritable enquête policière. Ainsi, on ne tiendra jamais compte d’un témoignage unique, et seulement de témoignages multiples qui convergeront avec certitude vers une vérité ou un fait.
    La plupart des lecteurs ne chercheront pas la lacune our l’erreur, car l’auteur se présente en historien. Donc ils lui font une confiance aveugle, d’autant plus que l’amitié aveuglée s’en mêle.

    Enfin, au terme de la journée, après une polémique aussi inutile que l’article fallacieux, l’auteur reconnaît que son texte contenait des approximations et qu’en plus il n’a aucune autorité dans la matière qu’il prétend maîtriser à tel degré qu’il publie des articles pour y révéler des mystères cachés à ses lecteurs.

    Il reste que si nul ne lui avait opposé de contradictions, les plus aventureuses théories circuleraient déjà dans les esprits prêts à avaler et croire tout ce qu’on leur sert à consommer, comme un mauvais bouquin de la série « J’ai Lu » des années 70. Quand les livres diffusaient noir sur blanc que les extra-terrestres avaient construit les pyramides. On en rit encore.

    • AS77 dit :

      rire encore est un signe vie ,le plus grave est d’être en possession d’un grand savoir et avec un degré d’intélligence pour éduquer .
      lorsque que l’on voie une personne qui par ses petits moyens ,après un travail de recherche essais de faire découvrir un pan de l’histoire ,se retrouve incriminé de sorcier perdue dans les méandres de l’histoire au lieu de te servir de ton savoir pour le guidé tu ne lui laisse aucune chance d’avancer d’utiliser de tes connaissances c’est pas sympa 🙁

      • AS77 dit :

        Georges Clio à besoin de tes poèmes pour gouter au mot humanité 😎

        • AS77 dit :

          alors que certains humains soufflent leurs derniers souffle de vie d’autre se déchires??dur dur la tête ne sert elle qu’a porter les cheveux 🙁

        • georges dit :

          j’ai quelque peu tardé à vous répondre, et pour cause : figurez-vous qu’il mest arrivé quelque chose de tout à fait extraordinaire et de fort mystérieux !
          Depuis hier, en effet, me cherchant, je ne me retrouvais plus, je m’étais même complètement perdu, et vous dire où, je ne le sais pas non plus.
          Toujours est-il que je ne parvenais pas à me rapporter à moi-même la preuve formelle de l’existence de georges.
          Question existentielle de fond, s’il en est, qui m’a mené, baladé, promené et entraîné de google en google jusqu’aux Brionautes!
          Dans un premier temps, par une sorte de réflexe inexplicable de survie, il m’est tout de même revenu soudain à l’idée que j’étais un georges.
          L’axiome étant posé, j’ai bien mis plusieurs heures à m’en convaincre, repoussant puis éliminant momentanément quelques « comment » et « pourquoi » intempestifs, de peur de devoir spéculer à partir de la théorie invérifiable.
          Cependant, il me restait à choisir quel georges je pouvais être, et cette question, touchant également à la notion d’origine, devenait dangereusement délicate (ou délicatement dangereuse?), tant je craignais m’apparaître usurpateur ou me constater imposteur.

          Evidemment, le Georges Clooney me plaisait bien, mais je ne me souvenais pas d’avoir dit « what else » en parlant de bijoux en café.
          Il y avait bien le Georges, dit Saint, de l’église d’en face, mais son dragon n’était pas le même que les miens, dont je fais l’élevage pour m’apprendre le Chinois, et pas pour être occis. Donc ce n’était pas ce georges-là non plus.

          Alors, il m’est revenu que mon georges, peu après sa naissance, avait mis un com sur le site des Brionautes, le 21 aoùt dernier, en réponse à la brûlante question « Georges…Saint-Georges??? »
          Le mystère allait-il être enfin terrassé? (encore un alexandrin!)
          « une romantique lecture sans doute, sur le sable d’aoùt, Sir ! »
          A l’évidence, on tenait là un rébus en trois mots!
          Pourquoi dire « Sir »? c’est de l’Anglais ! A moins qu’il ne faille traduire le reste en Anglais… « on the sand of august »… Et bien sûr, « romantique lecture sans-doute »… Sans doute George Sand !
          J’ai donc filé sur magic-google, et voilà que je découvrais que la romancière avait pris le pseudonyme George Sand à l’occasion de la publication de son premier roman intitulé « Indiana » !
          Là, c’est sûr on y était ! En plus il y avait bien un Indiana dans le secteur…
          Oh que c’était séduisant !
          Mais… tout de même… Il subsistait à l’analyse d’énormes différences, en dépit des si collantes apparences.
          Entre 1831 et 2011, par exemple; et puis l’Indiana du roman est une jeune Créole, tandis que l’autre semble un ténébreux agent double (Indiana, pseudonyme ou prête-nom) doué pour les découvertes souterraines. Et surtout : l’écrivain George Sand est une Femme, et ce george-là s’est supprimé son « s » !
          Alors, mon jeune georges, désoeuvré, devait probablement s’amuser à des jeux de mots de vacances.

          De guerre lasse, je m’énumérais des georges : Brassens, Marchais, Pompidou, Braque, Simenon, Stefan Georges, Boy Georges, Lloyd George, je ne sais pas moi ! Mais Nom de Nom, mais non ! Trop célèbres !

          Eh bien, le croiriez-vous? J’ignore toujours d’où sort ce georges sans antécédents généalogiques.
          Je finirai peut-être par lui faire rendre gorge, avant qu’il m’égorge.
          Je sais seulement que son nom évoque le travail de la terre, ça tombe bien : c’est en ayant les pieds sur terre qu’on existe, vraisemblablement.
          Mais le georges est poète.

          Je suis tombé du ciel, y retourne.
          Un oiseau me relie à la terre, y reviens.

    • AS77 dit :

      L’histoire doit telle se voiler la face et les poètes ainsi que les soit disant historiens se métamorphoser pour cacher des vérités ,aboyer dérriere un masque ne peux permettre de critiquer en toutes justice (Enfin, au terme de la journée, après une polémique aussi inutile que l’article fallacieux, l’auteur reconnaît que son texte contenait des approximations et qu’en plus il n’a aucune autorité dans la matière qu’il prétend maîtriser à tel degré qu’il publie des articles pour y révéler des mystères cachés à ses lecteurs.

      Il reste que si nul ne lui avait opposé de contradictions, les plus aventureuses théories circuleraient déjà dans les esprits prêts à avaler et croire tout ce qu’on leur sert à consommer, comme un mauvais bouquin de la série « J’ai Lu » des années 70. Quand les livres diffusaient noir sur blanc que les extra-terrestres avaient construit les pyramides. On en rit encore.)

  8. jms dit :

    IndianaJones nous a fait parvenir une pièce complémentaire que j’ai rajoutée à la fin de l’article : une illustration de la source et de l’entrée de la grotte de Crégy.

  9. MANDEAD dit :

    BRAVO ! Même si peut être , cette théorie apparait fumeuse pour certaine,il y a du travail et de la recherche, au moins vous vous intéressez a ce coin de la brie;un peu d histoire pour que les parigos qui ne respectent rien en venant chez nous, se sentent un peu concernés.
    Pour info :CLIO (déesse) immortalise la gloire des grands hommes, chante les exploits des guerriers et la renommée d’un peuple, permet de comprendre le monde et son devenir. cependant elle n’apporte de rien par elle même…NI NE JUGE; :-c)

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