La vérité sur les gaz à effets de serre

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9 réponses

  1. Korie dit :

    J’ai besoin de vos lumières :
    La semaine dernière, à l’institut, j’ai été démarchée par une entreprise qui fait partie des concurrents d’EDF (cette entreprise n’ayant plus le monopole sur la distribution de l’électricité).
    Je n’ai rien compris à l’intérêt de changer de fournisseur. Pourriez-vous m’expliquer ?
    Corinne

    • jms dit :

      C’est un peu comme avec le téléphone il y a quelque années, on peut choisir un autre fournisseur que le fournisseur d’état. Pour l’instant cela ne concerne que les entreprises. Je crois qu’on manque vraiment de recul pour se faire une opinion.

      Le transport d’électricité est toujours assuré par un seul fournisseur (un service de EDF); heureusement d’ailleurs car cela doublerait ou triplerait le nombre de cables dans la nature (comme on l’a fait pour les émetteurs de téléphonie mobile). C’est seulement le vendeur d’électricité qui peut être mis en concurence. On peut s’attendre à des offres commerciales différentes et personnalisées, un peu dans le genre téléphonie mobile à ces débuts; des factures très compliquées impossibles à comparer entre fournisseur, entre celui qui vous offre l’abonnement et qui fait payer plein pot les consommations et celui qui procède par forfaits.

  2. jna dit :

    Non je n’ai pas rendu les vaches responsables !
    Les chiffres cités et les analyses sont issus d’études scientifiques, considérées comme des références en la matière.
    Ce qui était intéressant de souligner c’est qu’en France, l’agriculture produit a elle seule 20 % du « volume » de GES national. Il faut en retenir c’est effectivement que la production de GES est d’abord le résultat de phénomènes naturels. La production de GES n’est pas nouvelle. Il faut juste noter qu’une agriculture intensive à des effets très comparables sur ce plan à ceux d’une production industrielle.

    • jms dit :

      C’est tout à fait exact.
      C’est un fait que l’agriculture est exclue du protocole de Kyoto, ce qui est dommage car il y aurait quelques progrès à faire de ce côte-là, non pas en empéchant les vaches de produire ce qu’elles produisent naturellement mais par rapport à l’usage intensif des engrais et pesticides dont la production est grosse génératrice de GES.
      Voir l’article suivant : Combien de gaz à effet de serre dans notre assiette ?

    • Myotis dit :

      Il y a un des pays scandinaves qui taxent les bovins, sur un calcul des gaz émis lors de la rumination de ces bovins. Eux aussi considèrent que les vaches sont résponsables (en partie) des GES.

      • brionautes dit :

        Pourquoi ne pas taxer aussi les humains;eux aussi générateurs de Gaz(pas toujours à effet de serre)?

        • sergemichel77 dit :

          J’espère que l’on ne va pas nous taxer sur les rots ou les pets car celà va nous coûter cher.
          Rien qu’après un cassoulet ou une soupe à l’oignon, j’en ai facilement pour 10 euros et je ne suis pas le seul ….
          Je crois qu’il existe un certain nombre de gens qui n’ont rien à faire et qui vivent des statistiques sur notre compte. Si les gaz émis par les bovins étaient si nuisibles, Tchernobyl ne serait qu’une bluette vu le nombre de têtes de bétail parquées rien qu’en Europe. D’ailleurs, comment l’homme peut-il résister à pareil péril (la femme aussi, pardon).
          Non, soyons sérieux et ne laissons pas dire n’importe quoi !
          Et comme dirait Bigard : un grand pet chez soi c’est toujours mieux qu’un petit pet chez les autres….

  3. Myotis dit :

    Il ne faut pas oublier une chose : le poumon de la terre n’est pas la forêt amazoniene comme on nous le répête sans cesse, ni les forêts. Elles y contribuent, en grande partie, certes.
    La plus grosse productrice d’oxygène avant les forêts est la mer (et les océans).
    Elle a également un atout fort considérable avec elle, c’est qu’elle ne consomme pas d’oxygène, contrairement aux arbres.

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