O.V.N.I de fin d’été à Voulangis !

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136 réponses

  1. jms dit :

    Un article plein de fraicheur, d’humour et de poésie. Du grand indianaJones.
    Un sujet qui sent l’été, la paille fraiche dans laquelle on irait bien se rouler, et ses bottes de paille qu’on escaladait étant gamin (c’était des petites à l’époque).

    Un sujet qui a aussi inspiré nos maitres photographes du cliché créçois. J’en veux pour preuve ce petit chef d’œuvre glané quelque part dans la région (âmes sensibles s’abstenir) : http://projet52.clichecrecois.fr/index.php/S31/IMG_5526

  2. Korie dit :

    La dernière photo n’a t’elle pas été faite à la sortie de Magny St Loup ? Bravo Indiana et Merci :-e)

    • IndianaJones dit :

      La dernière photo, celle des roundballs, n’est pas de moi, mais est libre de droits à condition de citer la personne qui l’a prise, et c’est chose faite en fin d’article.
      Mais je ne connais ni l’auteur ni l’endroit où ces meules ont été photographiées.

      J’en avais bien repéré des semblables vers Montbarbin, mais le temps que je puisse y aller elles avaient été enlevées… 🙁

  3. Clio dit :

    Tout ceci est très pittoresque, mais c’est toujours la même erreur qui meut l’historien local. Il ne m’en voudra pas de remettre les choses en bon ordre.

    Quand on aborde la question des meules de foins comme sujet dans la peinture, il faut tout d’abord savoir qu’il s’agissait, pour les peintres, d’un sujet le plus banal possible. Car ces meules en pointes étaient aussi courantes que nos poubelles dans nos rues. Et personne ne les remarquait plus.

    Les traiter en OVNI est juste une manifestation de l’homme du XXIème siècle.

    Il faut aussi noter que lorsque Kandinsky a vu ces meules par Monet, il a saisi la nécessité de l’art abstrait qu’il a créé. Car ces meules signifiaient la non importance du sujet, tellement elles étaient banales et donc tout à fait déplacées, pour l’esprit de l’époque, en tant que sujet dans la peinture de l’époque.

    Par ailleurs, le style impressionniste ne peut pas être réduit à un simple effet de flou même photoshopé. Il y a toute une démarche un peu plus complexe. Mais nous pourrons y revenir…

    • Clio dit :

      L’auteur dit : » Mais revenons à Voulangis, où cette meule n’en finit pas de m’inspirer et de m’intriguer…

      Je ne suis pas le seul d’ailleurs, d’autres avant moi en ont admiré et restitué les courbes.

      Le plus célèbre est Claude Monet (1840-1926), peintre impressionniste français. »

      Un peu d’humilité, n’est pas Monet qui veut. Et il faudrait d’abord être peintre ou connaître la matière dont on débat.

      Et Monet n’est pas passé par Voulangis. Enfin, ce Migneaux est très loin de valoir les prouesses du chef des Impressionnistes auquel Indiane Jones se compare. Faut pas pousser ! 😀

      • AS77 dit :

        clio vous êtes fort déplaisant à toujours critiquer mon ami indiana que vous jalouser pas besoin d’être peintre ou autre pour s’ intéresser au passé et à l’avenir même l’être le plus ignare à le droit de s’occuper l’esprit ,à mon avis Georges devrait vous demander de vous calmer envers mon AMI indiana 😐

  4. Clio dit :

    Celle-ci est très bonne aussi :

    « Vu la taille de l’ouvrage à Voulangis, cette meule servait sans doute à la nourriture des animaux pendant l’hiver. »

    Mais, l’auteur, à quoi vouliez-vous que ça serve d’autre ? MDR !
    Le foin c’est pour nourrir le bétail, c’est connu, et pendant l’hiver. Pas besoin de se dire historien pour nous dénicher cette perle. 😀

    • jms dit :

      Si c’est du foin, car la paille c’est plutôt pour la litière.

      • Clio dit :

        Mais justement c’est là qu’est l’écart.

        Monet n’a absolument pas pris en compte ces considérations. Il a étudié les effets de lumière sur un objet banal. Il n’était pas du tout intrigué ni intéressé par l’objet meule, sa provenance, sa destination.

        Et prendre les choses par ce bout, c’est faire une erreur et passer à côté du sujet.

        C’est pourquoi l’auteur trouve le même intérêt pour la meule de Migneaux et celle de Monet, quand elles sont en totale opposition. On ne peut pas aborder ce sujet d’histoire de l’art sans connaître… l’histoire !

        • Clio dit :

          Enfin, j’ai bien ri !

          « d’autres avant moi… » « Monet ».

          Excellente ! Merci pour le fou rire.

          • georges dit :

            lorsque j’ai lu cet article il y a quelques heures, il n’y avait aucun commentaire, et je me suis dit « tiens! je vais y penser »… le temps d’une petite soirée festive, et je vois qu’entretemps, ces meules ont mobilisé du monde!
            j’ai songé tout de suite à certains « détails » que je retrouve dans l’une ou l’autre de ces réflexions successives…

            En effet, comme l’affirme justement Clio, ces fameuses meules représentées par plusieurs peintres n’étaient pas choisies par eux comme sujet, ni pour ce qu’elles étaient par elles-mêmes.

            Ces meules, très « banales » dans les paysages d’été franciliens, très courantes ou même triviales si on ose dire, étaient même un non-sujet!
            …un non-sujet, c’est-à-dire, en langage de peintre, un prétexte : un prétexte à y voir autre chose…
            Eh oui, c’est cela la peinture impressionniste au tournant des années 1870 et suivantes : c’est d’abord un Oeil différent porté sur les choses ou les objets les plus communs que l’on rencontre dans son environnement ou dans son entourage.

            Et les meules sont ce prétexte à voir autrement, autre chose, ce prétexte, -ce motif-, à étudier les changements des couleurs opérés par l’évolution de la lumière à chaque instant du jour.

            Nulle question d’émotion dans cette affaire, nulle préoccupation de faire le portrait d’une meule individuelle de tel ou tel patelin…
            … En revanche, après avoir bien analysé les « impressions » saisies par un ou des peintres, une ou plusieurs fois, pour ce même Motif : la qualité vibrante de la lumière, les effets de celle-ci sur les tons, qui sont rendus par des coloris posés par touches instantanées, etc, on peut également s’attacher à considérer la construction de ces tableaux.
            Cette construction qui offre à la meule une place centrale et une masse imposante est d’autant plus intéressante qu’elle ne doit pas être prise pour une description de la meule en tant que meule!

            Le Regard des peintres impressionnistes a encore saisi la meule, dans la perspective et la construction du tableau, comme prétexte: un prétexte à en faire quelque chose de monumental.
            La meule devient alors une structure quasi architecturale… une forme simple qui se dilate en un volume idéal, où il est aisé d’observer se déployer toute la complexité du spectre : ces lumières colorées fugitives qui intéressent tant les Impressionnistes.

            C’est ainsi que ces tableaux réalisent une synthèse particulièrement harmonieuse et subtile entre forme et couleurs. La meule est devenue une présence, au rendu magnifié, au point qu’on doit en oublier la représentation de la meule de foin même.

            Mais cela nous avons beaucoup de mal à le comprendre aujourd’hui, avec nos yeux rapides, encombrés de nostalgies parasites d’objets du passé, et surtout d’abord attachés à nommer avant de Regarder.

            (… pourtant l’art contemporain continue d’oeuvrer dans cette voie ouverte par les Impressionnistes, et nous avons appris, depuis, à ne pas voir seulement une serpillère tendue avec des clous dans une des plus célèbres oeuvres de Picasso; à ne pas considérer uniquement les bagnoles, compressées en sculpture par César …)

          • Florence dit :

            Chère Clio,
            Merci pour ces précisions. Mais permettez-moi de vous dire très amicalement que si le fond en est intéressant, des expressions telles que : « MDR3, « pas besoin de se dire historien pour nous dénicher cette perle », etc., ne sont pas top au niveau communication.

            Je n’ai pas trouvé top non plus, comment dire, la proximité, dans votre texte, de poubelles avec meules de foin, bien que j’ai compris ce que vous vouliez dire.

            • Florence dit :

              erratum : ignorer le 3 après MDR. J’avais oublié de désactiver la fonction majuscules et c’est un guillemet qui aurait dû apparaître.

            • jms dit :

              Clio, l’arroseur arrosé , en somme !
              Chercher des poux, traquer l’erreur, découvrir la perle est un exercice amusant, souvent facile, un peu destructeur quand même. On l’a fait quelques fois avec certains bulletins municipaux voulangeois, c’était si facile de dénigrer. Quand c’est fait avec talent, sans être méchant, et sans tourner au harcèlement, cela peut être drôle.

    • Mrs_Jones dit :

      Peut-être, mais là ça ne ressemble vraiment pas à du foin…

      Est-il besoin d’ajouter que la paille est aussi utilisée depuis des millénaires dans la construction d’habitations ?
      Destinées à la construction de granges, cabanes, poulaillers, garages, ateliers, les meules confectionnées étaient plus petites, et le faible poids des ballots permettait d’éviter les mouvements de sol lors de la fondation de la maison.
      Ils faisaient à la fois office d’éléments porteurs et d’isolant.

      Souvent réservée au monde rural (même si elle est remise au goût du jour avec la vague alternative écologique), la maison de paille est reconnue pour sa rapidité de mise en œuvre (après séchage, ça alors…!) et sa puissance d’isolation.

      • Korie dit :

        C’est simple : les agriculteurs se donneraient-ils du mal pour récolter ce qui sert à nourrir les animaux ou boen à construire des habitations qu’on ne construit plus de nos jours ? 😎
        Du rifoinfoin à Crécy ?

        • jms dit :

          Beaucoup de céréaliers ne font plus de paille, ce qui est bien dommage. La quantité de bottes vues cette année indiquerait-elle un changement ? En périodes de sécheresse, la paille trouve toute son utilité pour le bétail, mais aussi dans les paillages de certaines récoltes pour garder la fraicheur, dans les jardins notamment. De nouveaux débouchés pour un produit si naturel.

        • georges dit :

          en relisant attentivement l’article, je me rends compte qu’on pourait en fait avoir le choix entre deux interprétations, voire deux sujets.

          « Voici un Objet Voulangeois Non Identifié, en l’occurence une huile »… (là je crois qu’on parle de peinture)… »représentant une meule de foin, signée L. Migneaux. Elle est située par l’auteur à Voulangis. » (et la grammaire me confirme qu’on doit parler de peinture).

          C’est un joli sujet qui offre le champ à toutes sortes de comparaisons picturales, et il n’est pas inutile de se référer à d’autres peintures ou d’autres images photographiées de meules de l’époque.

          je m’aperçois maintenant que cette peinture à l’huile a été détournée pour nous orienter sur un autre sujet en fait.
          En d’autres termes : évidemment, si la Peinture est un prétexte à une bataile de pelochons entre meules de foin et ballots de paille, alors là… tant qu’à faire…

  5. jna dit :

    Merci Indiana pour ce bel article qui s’inscrit bien dans l’esprit du site.
    Je vois que quelques uns de nos lecteurs se sont réveillés pour nous expliquer que parler de meules à propos d’un tableau du XIXème qui présente des meules, constitue un hors sujet grossier sur le plan culturel.

    Eh ben, c’est dommage, car nous les cul terreux, dès fois ça nous amuse de causer des activités champêtres.
    Au risque de me laisser polluer par quelques images trop nostalgiques et cul-cul la praline, je dirais quand même que les photos de l’article éveillent en moi quelques souvenirs que j’aurais pu croire, complètement oubliés. Ainsi la petite meule « roumaine », pourtant peu colorée, et très banale … me rappelle qu’est-ce que j’ai connu enfant dans les années 70. En effet, la pratique illustrée par la photo était encore vivace dans la région pour faire sécher les cultures fourragères. Nous appelions ce type de meule, reposant sur un grand trépied de bois un « perroquet ». Comme l’intérieur de la meule présentait un vide (qui participait activement au séchage), le perroquet se transformait dans nos jeux en tipi indien … il était en effet facile de s’y introduire par l’un des 3 orifices existant à la base de la meule.
    A l’époque que j’évoque, le foin, une fois séché (herbe, luzerne, …) était « pressé » c’est à dire mis en ballots (ou bottes selon le type des presse utilisée) sur place avant d’être chargé dans une remorque (bel exercice d’équilibre) pour être transporté vers les fermes et finir stockés dans des granges ou sous des hangars (voire en meule). par la suite, cette technique a été abandonnée au profit d’un pré-séchage « au sol » du foin, mis en « andains » au moyen d’un rateau spécial? Ah oui, parce que si vous coupez de l’herbe avec une faucheuse, elle tombe là où elle est, et il faut commencer par la regrouper en « andains’ -la forme des longs boudins de paille que laissent les moissonneuses batteuses- avant de pouvoir utiliser une machine capable de les mettre en ballots.
    Ok Monet s’en fout, mais c’est amusant de se rappeler ces détails.

  6. Clio dit :

    @ Florence et JMS,

    « Poubelles » est le terme même qu’employait le grand Albert Châtelet pour bien mettre en évidence le caractère trop banal ou trivial des meules de foin dans la peinture de paysage au XIX ème siècle.

    Il s’agit là du plus grand spécialiste de la peinture de paysage et il disait explicitement. « Ces meules étaients aussi courantes dans le paysage que nos poubelles aujourd’hui dans nos rues ».
    Et si l’on condidère tous les ouvrages éminents qu’il a publié sur l’histoire de l’art depuis Lascaux jusqu’à nos jours, on peut lui faire confiance.

    Par ailleurs, ce n’est pas parce qu’il est écrit au crayon sur le châssis derrière le tableau : « Voulangis » que le tableau représente Voulangis. C’est peut-être simplement l’idée d’un marchand qui voulait fourger sa toile dans le coin. Pour bien connaître l’origine d’un site représenté, il faut regarder les éléments distinctifs sur la toile, et particulièrement l’architecture. Et là, on se croirait plutôt vers Auvers ou même en Bretagne. Regardez les cheminées sur les maisons. C’est très peu Seine-et-Marnais.

    Mais nous avons le successeur de Monet parmi nous, ils saura nous dire la fin de l’histoire de la peinture ! 😀

    • jms dit :

      La réflexion sur l’inscription « Voulangis » est intéressante, cela expliquerait pourquoi IndianaJones n’a pas réussi à retrouver le site. Et rajoute un peu plus au mystère …

      • Clio dit :

        Si je me faisais plus méchant, je dirais que le dispositif de présentation du tableau signe l’erreur qui est l’origine de l’errance. Car l’auteur a surtout vu le mot Voulangis à l’arrière du tableau et non le tableau lui-même. On le voit bien, la photo du tableau est minuscule et ne permet aucune analyse, seule la photo du mot Voulangis est agrandie. Et voilà comment on se gourre d’arrivée.

        Si le mot Voulangis n’est pas inscrit dans le tableau soit verbalement soit par des éléments clairs et distinctifs. C’est un fake ou une de ces innombrables magouilles des marchands de peintres ou des petits peintres mêmes qui pullulent dans les chaumières jusque dans les Amériques.

        Sachez qu’il y a plus de Corot aux USA que Corot n’aurait pu en peindre s’il avait vécu 500 ans. Car les faussaires avaient mis la surmultipliée tellement c’était facile de tromper ces touristes richissimes.

        Et Corot lui-même signait les études de ses disciples pour qu’ils puissent payer le loyer de leur misérable galetas au moins pour quelques mois. Ca n’a pas rendu la tâche des expert plus aisée, on le comprendra.

        Donc ne croyez jamais ce qui est écrit, regardez les images, elles parlent et même elles pensent, comme disait le Grand Arrasse. Qui pour le coup était un grand. Faut tout leur apprendre à ces historiens du matin. 😀 😀

      • IndianaJones dit :

        A ce petit jeu là, on pourrait tout aussi bien considérer que Sugimoto n’a pas peint  » the Haystack of Voulangis »… à Voulangis. Ni Raphaël Ludovic avec « Orage à voulangis » (que je cherche encore à situer). Tout comme Franck Cinot ou François Richard de Montholon n’ont pas représenté les roches de Serbonne.
        Bien ! Dans ce cas, nous avons affaire à des anciens artistes malhonnêtes. Donc, suivant une certaine logique, tous les artistes peintres sont malhonnêtes.
        Mais effectivement, depuis l’époque de Corot, certains copistes peu scrupuleux, ont profité de la demande du style « barbizon ». Seulement, ils savaient rester discrets pour profiter pleinement des beaux cachets perçus…

        Quand un artiste crée, il y met son coeur, son âme, même quand il a besoin de bouffer (Cf La Joconde, de De Vinci, exécutée sur commande et non de son propre chef… mais qu’il n’a jamais livré à son commanditaire).
        L’aquarelle de la collégiale « Notre Dame de L’assomption » par C. Bouvier nous a appris que les peintres estompaient les détails qui les dérangeaient. Difficile donc de retrouver l’endroit exact, faute certainement de détails disparus.
        La mention à l’arrière du tableau « Voulangis » est contresignée par l’auteur. La peinture provient d’un particulier qui, malheureusement, suite à une succession, se débarasse d’objets qui ne lui évoquent pas grand chose.
        Je ne vois pas quel est leur intéret de mettre sur le marché un soi-disant « faux » tableau, qui plus est d’un auteur même pas référencé, pour abuser qui que ce soit.
        On achète en connaissance de cause.

        Et c’est pas plus idiot d’acheter de cette façon que dans les brocantes du coin, car parfois, la renommée de certains ne va pas plus loin…

        Par contre, j’ai une question à laquelle seuls les anciens Voulangeois, de souche ou non, pourraient répondre…
        La dernière meule de ce genre à Voulangis date de quelle année ?

        Citoyens Voulangeois, à vos souvenirs et albums photos !.. :-d)

        Il se pourrait que ce genre de meule ait survécu en Ile de France jusqu’en 1978 !

        • jms dit :

          C’est ce que semblait dire jna qui en a connu dans sa jeunesse. Ou il est beaucoup plus vieux qu’il ne le laisse penser, ou cette région a évolué tardivement sur ce sujet, car je me souviens de n’avoir connu que des bottes carrés dans le sud-ouest dans les années 60-70.
          Amorel, ancien de Voulangis, vient nous répondre et remuer tes souvenirs d’enfance !

        • Clio dit :

          @ Indiana Monet !

          En quoi pouvez-vous être certain qu’il s’agit d’une mention écrite au crayon par l’auteur de ce tableau et contresignée par lui ? Pourquoi un auteur doublerait-il sa signature sur le tableau puis à l’arrière de celui-ci ?
          Il faut donc émettre les plus grands doutes.

          Et les usages occultes ou manoeuvriers des marchands ne signifient pas la malhonnêteté des peintres. Sauf à vous faciliter une occasion de dénigrer un contradicteur et sans aucune connaissance vous l’autorisant.

          Non, la réalité, c’est que vous êtes comme le novice, vous vous enflammez au premier carré de toiles poussiéreux en pensant avoir découvert une perle. Quand le plus souvent sinon toujours, il s’agit de tableaux sans aucun intérêt artistique sinon d’être les témoins des peintures du dimanche de l’époque.

          Et ce n’est pas en rameutant Monet ni Vinci que vous parviendrez à faire de cette croûte amusante un chef-d’oeuvre du foin !

          Laissez donc la peinture aux peintres et l’histoire de l’art aux historiens de l’art. Et parlez-nous des meules de foins où vous excellez. 😀

          • jms dit :

            Et l’écriture aux seuls écrivains reconnus, et le commentaire politique aux seuls politiques et journalistes officiels …
            Heureusement qu’on se mêle de tous ces sujets que les professionnels de la profession voudraient garder jalousement ! Et même si on débute parfois dans un domaine, c’est par l’obstination, le travail, la recherche que nait l’érudition. Nul n’a la monopole de l’analyse, de la critique et de faculté à donner son avis. On le prouve sur ce site depuis de nombreuses années, et j’espère qu’on continuera grâce à des gens comme IndianaJones.

            • Clio dit :

              Donc vous laisseriez la médecine aux bricoleurs.

              J’espère que votre sens commun vous poussera à agir à l’inverse de vos convictions quand un de vos proches serait malade. 😀

              • jms dit :

                Ne confondons pas ! Même si les capacités de certains guérisseurs sont bien réelles, la médecine est affaire de gens dument formés et pourvus d’un diplôme d’état.

                Il n’en est pas de même quand il s’agit de discourir sur des sujets où l’on devient spécialiste d’abord par l’expérience et par l’exercice de son cerveau et de son esprit critique, ce qui est donné à tout un chacun, n’en déplaise aux adeptes de la pensée unique.

                Et qui plus est quand il n’y a aucun enjeu, sinon celui de se divertir comme nous le faisons sur ce site, les « amateurs » sont invités à se lancer. A trop s’exercer à cette activité, ils risquent d’en devenir savant, ce qui ne peut manquer de fâcher l’intelligentsia, pour notre plus grand plaisir !

                • Clio dit :

                  L’art et l’histoire de l’art sont aussi des sciences humaines auxquelles les gens sont formés et vers l’obtention de diplômes d’Etat.

                  Ne considérez pas les arts comme des amusements, ça on ne le voit qu’à la télé qui est le siège de la pensée unique comme vous dites.

                  Quant à fâcher qui que ce soit, il s’agirait plutôt d’une souhait et d’une promesse d’audience croissante.

                  Nous n’en sommes manifestement pas là.

                  Je suis désolé et ravi dans le même temps, d’avoir mis en difficulté votre cacique et détenteur de la science es arts sur votre site, et peut-être ai-je un peu aidé à vous ouvrir au monde derrière les portes de vos certitudes. He oui, Indiana Jones ne dit pas l’histoire des arts aux foules et midinettes médusées et séduites.

                  La question n’est pas d’être savant ou non, mais d’être vrai ou non. Et sur l’internet, n’importe qui peut faire passer ses délires pour des Da Vinci Code plus enième. Ca n’en fait pas des savants, et ça fait plus de moutons panurgiques encore…

                  Mais vous avez parfaitement le droit de rêver que la terre serait plate.

                  😀

                  • Florence dit :

                    Oui mais les sciences humaines ne sont pas des sciences exactes. D’ailleurs les différents experts ne sont pas toujours d’accord entre eux. De toute façon les sciences, humaines ou non, évoluent grâce aux découvertes des chercheurs, généralement chevronnés, mais pas toujours, ainsi la puce électronique a été découverte par un employé qui n’avait pas de qualifications extraordinaires. Evidemment 2 et 2 feront toujours 4 … Et puis je trouve que vous devriez vous adresser à Franck avec plus de douceur et de respect …

                    • Clio dit :

                      @ Florence,

                      Si je vous comprends bien, il serait bienvenu que j’accepte tous les postulats énoncés par votre historien local, pourvu que rien ne vienne un peu secouer ses convictions, ce qui pourrait basculer sa personnalité fragile.

                      C’est touchant, mais ce n’est pas lui rendre service, non plus qu’au lecteur. Heureusement, il reste l’humour et ces pages n’en manque pas ni vous d’ailleurs.

                      😎

                  • jms dit :

                    Tous ces érudits officiels, historiens de l’art trouvent leur raison d’être parce qu’il y a derrière quantités d’amateurs qui s’intéressent à l’art et à force d’exercer leur passions, pour un peu qu’ils puissent s’exprimer sans être démolis par des critiques telles les votres, progressent et font progresser la connaissance commune.
                    On peut comparer cela au sport. Si les sportifs professionnels de haut niveau dénigraient de la sorte les pauvres amateurs qui font du sport en club à longueur d’année, il n’y aurait plus personne pour les applaudir et le sport de haut niveau n’aurait plus de sens.

                    • Clio dit :

                      Attention JMS, bientôt vous allez nous sortir la théorie du complot et que tous les officiels font partie du grand complot franc-maçon et que Neil Armstring n’a jamais posé le pied sur la Lune parce que c’est un mensonge des institutions officielles.

                      Et c’est l’humour qui gagnerait encore.

                      Tous les professionnels amateurs progressent car il y a compétition, sans compétition tout ne serait qu’une vague aire de jeux où chacun se prétendrait champion du monde de son unique coup de pied.

                      Vous vous perdez et vos arguments en tentant de faire accroire que nul n’a besoin d’être formé avant de professer. Parce que tout dans la réalité dit le contraire, et vous envoyez bien vos enfants à l’école. Pour qu’ils y soient formés par des maîtres, et pas seuls dans la nature. Ca se saurait.

                      😀

                    • jms dit :

                      Là, on s’égare en dehors du sujet.

                      L’intérêt qu’a suscité cet article et les compliments nombreux accordés à notre ami IndianaJones prouvent que son article et son discours sont pertinents.

                      Mais, j’espère que l’on pourra poursuivre cette discussion, et tant d’autres, au cours du forum des associations où nous serons le dimanche 9 septembre à Crécy (j’ai placé ma pub :b )

                    • Clio dit :

                      @ jms

                      Où auriez-vous vu qu’être pertinent c’est recevoir des compliments ?

                      Pour ma part, être pertinent c’est exposer des éléments qui s’achèvent en conclusion irréfutables. Et nous n’avons rien vu de tel. Pis encore, les critiques majeures qui suivent cet article en ont dénoncé toute pertinence.

                      Mais si vous vouliez absolument et par souci de démagogie qu’on dise le contraire, je m’abstiendrai d’enfoncer le clou, puisque c’est déjà fait.

                      Toutefois, je me permettrai de rire encore. Car l’humour est toujours garant de vérités inavouées. 😀

                    • jms dit :

                      Je vous ferais remarquer que les critiques majeures ne sont que de votre fait, et vous êtes le seul à les qualifier de majeure. Et si vous trouvez que c’est risible, rions ensemble volontiers 😛

                    • Clio dit :

                      @ jms

                      C’est que vous avez mal lu, car le poète éminent Georges a abondé dans les critiques, et nul ne pourra dire qu’il dit les choses à la légère. Même qu’il pèse ses mots et les orfévrit en poésie ce qui leur donne plus de poids encore.

                      Et l’argument : « celui qui dit il l’est » est un parangon du risible. C’est pourquoi je m’étonne que vous nous le sortiez si nonchalamment.

                      Mais je me réjouis de vous avoir conquis par le rire. 😀

                    • retraitactif dit :

                      Neil Armstring????Neil Armstrong en string?et sur la lune de surcroit??? :-d)

                • Florence dit :

                  Entièrement d’accord avec vous Jean-Michel :-e)

            • Florence dit :

              « Et même si on débute parfois dans un domaine, c’est par l’obstination, le travail, la recherche que naît l’érudition »

              Absolument, il y a des amateurs très éclairés qui ont ainsi réussi à s’imposer, tel Georges Priem du Havre, (1896-1980), dont une rue porte le nom, comptable de profession et archéologue, je dirai par passion. « Il fût membre de la Commission départementale des Antiquités et du Comité départemental de l’Inventaire général des Monuments et Richesses artistiques de la France. Son action s’est principalement portée sur la sauvegarde du patrimoine havrais notamment lors de la Reconstruction ». Je cite le Dictionnaire Historique des rues du Havre, ouvrage collectif sous l’égide des Archives Municipales du Havre. Eh bien il avait bien eu le droit de s’intéresser à une discipline pour laquelle il n’avait pas de titre universitaire. On avait également bien eu le droit de reconnaître ses compétences, et heureusement que nous avons eu cet éminent amateur éclairé, ainsi que de nombreux autres qui servent ou ont bénévolement servi la France. Honneur à eux
              :-e)

              • Florence dit :

                J’ajouterai que Georges Priem fut également pendant de nombreuses années, Président des Amis du Vieux Havre, association maintenant appelée Centre Havrais de Recherches Historiques, et qu’il a écrit des ouvrages sur l’archéologie. Nous avons aussi la Société Havraise d’Etudes Diverses, également animée par nombre d’amateurs très éclairés. Honneur à tous ces bénévoles qui ont un rôle culturel d’une telle importance :-e)

                • jms dit :

                  En pays créçois, on citera le cercle artistique de Villiers (créé au XIXème siècle) et le Greha dont les travaux et l’érudition n’ont pas d’équivalent chez les « professionnels ».

                  • Clio dit :

                    Mais Georges Priem était enseignant et il a réalisé un fond photographique inouï. Ce n’était pas l’autodidacte que vous dites.

                    Jones a encore beaucoup de travail avant d’avoir réalisé un apport comparable à celui de Georges Priem.

                    Et maintenant que vous lui avez laissé entrevoir qu’il pourrait avoir une rue à son nom, vous allez être submergé par les Code Da Jones et les meules et les références à Monet qui était le précurseur de Indiana Jones. 😀

                    • jms dit :

                      Une rue au nom de notre ami, qui sait un jour s’il persévère et ne se décourage de vos critiques.
                      Par contre une rue à Villiers en hommage au cercle artistique serait parfaitement opportune.
                      Par contre une « rue clio » à Crécy, en quel honneur ? la muse de l’histoire, la bagnole ou le pourfendeur de IndianaJones ? …

                    • Clio dit :

                      Cette idée vous plaît, d’ores et déjà vous voulez donner des noms de rues à tous. Heureusement, vous n’êtes pas en charge de l’urbanisme. On ne s’y retrouverait plus à Crécy. 😀

                    • jms dit :

                      Vous radotez, ce n’est pas moi qui ait évoqué cette idée mais vous en réponse au rappel historique de Florence.
                      C’est clair qu’une rue Clio, on n’en veut pas !

                    • Clio dit :

                      Moi non plus je ne veux pas d’une rue Clio ! quelle idée saugrenue.

                      😀 😀 😀

                    • AS77 dit :

                      ah la jalousie CLIO elle vous rend irritable et bien bas,seul les médiocres manque de tolérance, le chêne robuste face au roseau à méditer

                  • Clio dit :

                    @ jms,

                    il y a aussi le cercle des « amateurs de la comète » qui ont lancé tous seuls un satellite qui a visité Neptune et qu’il est revenu avec plus de Neptunite que tout engin lancé par les professionnels de la NASA. Vous avez raison.
                    😀

                    • jms dit :

                      Comparaison loufoque que nos amis du cercle artistique de Villiers apprécieront …

                    • Clio dit :

                      S’ils sont plus compétents que des professionnels, comme vous le dites, ils ne perdront pas leur temps à suivre nos élucubrations à propos de fiefs inexistants. 😀 😀 😀

                    • Florence dit :

                      Voici les renseignements que j’ai trouvés sur internet concernant Georges Priem.

                      PRIEM Georges 1896 à Dunkerque (Nord) – 30 décembre 1980
                      Société(s)
                      >Académie des sciences, belles-lettres et arts de Rouen : membre correspondant (1962)>Centre havrais de recherche historique – Amis du Havre et de sa région : membre fondateur (1921)
                      Président (1953)>Consortium des sociétés savantes de la Seine-Maritime : Président>Société havraise d’études diverses : membre résidant (1922)
                      Biographie :
                      Archéologue et historien.
                      Expert-comptable et professeur chargé de l’enseignement commercial, mais a surtout mené une activité considérable pour étudier et défendre le patrimoine artistique et archéologique du Havre.
                      Membre de la commission d’aménagement des villes et des villages (1934) et de la Commission départementale des sites, perspectives et paysages.
                      Il entra à la Commission départementale des Antiquités et nommé en 1953 membre corrrespondant de la Commission supérieure des monuments historiques.
                      Sources biographiques :
                      Précis… de l’Académie de Rouen, 1981
                      Rédacteur(s) de la notice : Martine François

                      Je savais qu’il était expert-comptable de profession, c’était un ami de mon père. S’il fut enseignant, ce fut d’enseignement commercial, à titre rémunéré, comme indiqué plus haut, cela allait avec la comptabilité, et, à titre bénévole, il était professeur à la Société Havraise de Photographie, une association Loi 1901,( cf. site des archives de la Ville du Havre), cela allait avec l’archéologie. Il existe tout un fond très important de photos qu’il a prises au Havre dans le cadre de ses compétences en archéologie et en histoire.

              • georges dit :

                je suis bien d’accord avec vous, Florence, et vous avez raison de faire honneur à ces personnalités hors du commun qui ont certainement été « reconnues par leurs pairs », selon l’expression consacrée. Jms abonde à votre suite avec d’autres cas exemplaires qui enrichissent le trésor de connaissances du passé.

                la phrase de jms que vous citez me semble également à propos, et met en lumière le coeur de la problématique de tous les chercheurs, « professionnels » ou « amateurs éclairés », en un mot : « le travail ».

                Je me permets d’ajouter quelques convictions et évidences à cet égard.

                En effet, le travail est bien la qualité la plus nécéssaire, la plus ardue à entretenir, mais aussi la plus féconde, afin d’obtenir son résultat satisfaisant, dans quelque domaine que ce soit.
                Le travail, c’est une discipline, un entraînement: « du cerveau » (comme l’a dit jms), de l’esprit, et aussi du corps, du coeur, de l’âme… selon le point de vue duquel on se place.
                La connaissance, la science, le savoir… tout cela est le fruit d’un travail constamment poussé plus haut, plus loin, plus fort, et amélioré d’individu en individu, par une transmission ininterrompue.

                Aujourd’hui, selon toutes apparences, tout est à disposition, tout le monde peut parler de tout, répondre à tout le monde… Et il s’ensuit un vaste brouaha, constellé de quiproquos et de dialogues de sourds, puisque les uns et les autres ne parlent pas de la même chose, au même niveau et selon les mêmes motivations.

                Aujourd’hui, Google et Wikipédia (entre autres) semblent pouvoir alléger considérablement le travail à certains.
                L’impression que la connaissance de tout est à disposition sur simple demande est pourtant trompeuse. Si ces outils sont en effet très stimulants, et aiguisent la curiosité (qui est une qualité!) déjà présente, ils ne permettent néanmoins pas tout.
                L’accumulation de connaissances en tout genre est une partie du travail, largement aidé par Google et cie. Mais Google et cie ne montrent pas comment mettre en oeuvre ces informations, comment produire un discours analytique, cohérent, structuré et convaincant; comment écrire soi-même, comment découvrir du nouveau à partir de vérités déjà explorées.

                Plus Socrate réfléchissait plus il constatait que la vraie Connaissance, c’est d’apprendre qu’on ne sait rien.

                A un moment donné, on peut se rendre compte, en tant qu’autodidacte, que toute la somme de savoir qu’on a thésaurisée n’est qu’une belle collection de plus en plus riche mais inerte.
                C’est à ce moment que l’on peut découvrir que le travail ne fait que commencer. Et si on développe cette qualité essentielle qui est l’humilité, on prend enfin conscience que l’on ne sait encore rien.
                On remarque par exemple que même si on a l’impression de travailler beaucoup soi-même tout seul dans son coin, ça ne suffit pas, on continue seulement d’accumuler et on risque même d’en être de plus en plus fier, voire orgueilleux.

                Ce qu’ont compris tous ceux (indépendamment du statut) qui ont enrichi ou fait progresser la connaissance, c’est d’abord qu’ils en étaient redevables à des prédécesseurs (qu’il ne suffit pas de citer dans une liste migrainogène!).

                La véritable mise en oeuvre efficiente de tout savoir passe par une transmission de maître à élève, d’instructeur à étudiant, de professeur à disciple, comme on veut, mais c’est là un point crucial et indiscutable.

                On ne peut réaliser la pleine valeur du travail et sa capacité à faire évoluer la connaissance que par l’expérimentation de l’expérience que d’autres ont développé avant nous. Nous sommes interdépendants.
                En Orient, certains disent que le but du maître est atteint lorsque le disciple a dépassé le maître. Encore faut-il que l’étudiant ait l’humilité de chercher un professeur, et comme on dit encore en Orient: « quand le disciple est prêt, le maître est là ».

                On a cité des historiens, archéologues « amateurs », mais qui ont réalisé des contributions reconnues. Je vous garantis qu’aucun d’entre eux n’est resté tout seul à tout réinventer dans son coin, ni ne s’est enferré dans un discours présomptueux du type « les autres étaient intelligents mais pas tant que Moi qui ai vu ce qu’ils n’ont même pas vu! »
                Au contraire, chacun a appris au contact d’un ou de plusieurs « maîtres » en la matière avant lui, que ce soit dans un cadre formel (universitaire) ou informel (sur le terrain). Il y a toujours eu, nécessairement, transmission personnelle d’expérience pour donner naissance à l’expérience nouvelle. C’est ce qu’on appelle aussi initiation.
                La confrontation de sa propre ouverture à l’expérience connaissante des autres aboutit à un déclic qui permet de dépasser sa propre insuffisance.
                Pour en revenir à Socrate… vous savez, la « maïeutique » : faire accoucher…
                Socrate parlait avec toutes sortes de gens qui découvraient qu’ils ne savaient rien, et il leur posait des questions de telle sorte qu’ils découvraient des vérités qu’ils n’auraient su dire par eux-mêmes tout seuls… des vérités qu’ils savaient déjà, mais pas autant ni aussi bien que lorsque Socrate les leur faisait accoucher, au terme d’un long travail, de toute évidence!

                • jna dit :

                  « Plus Socrate réfléchissait plus il constatait que la vraie Connaissance, c’est d’apprendre qu’on ne sait rien. »
                  je ne connaissais pas, mais je suis bien content de le savoir car ça me parait plutôt simple à apprendre

                • AS77 dit :

                  Quiconque s’imagine être le seul à bien raisonner et prétend détenir le privilège de la parole et de l’intelligence, une fois qu’on l’a mis à nu, on s’aperçoit que ce n’est que du vide.
                  Sophocle

    • Clio dit :

      @ jna,

      Voilà le genre de choses que j’aurais aimé lire et découvrir dans l’article. Mais c’est bien un effet du net, que souvent les commentaires en disent plus captivant que l’article même. Car souvent l’article est juste un prétexte pour introduire un sujet très vaste.

      Toutefois, ces présentations grandiloquentes, en manière de collages d’idées sans fondement, déservent d’abord le sujet et pour servir l’auteur des esbrouffes. C’est une vieille habitude des médias et jusque dans nos provinces reculées. On croit tout savoir quand on a lu deux articles sur le sujet , et on les ressert en sauce plus ou moins allongée.

      A la fin ou au début, le génie méconnu se prend pour un neuf Monet et il oublie le caractère humble de la feuille où il publie. C’est ça la vis comica !

      😀 😀

    • georges dit :

      …C’était l’époque de nos quatorze ans,
      Nous filions sur nos Meules à travers champs,
      Et nous arrêtions parfois en chemin,
      Pour nous rouler dans les foins,
      Ou pour nous essayer
      A nos premiers baisers…

    • Florence dit :

      Je ne conteste pas les compétences d’Albert Châtelet, ni le fait que les meules étaient très courantes dans le paysage à l’époque. Mais j’ai bien le droit de ne pas trouver très heureuse la comparaison avec les poubelles.

      • AS77 dit :

        indiana salut 😉 un de mes ami a une très belle collection ovnj JE REGARDERAIS SI IL Y EN A UNE QUI LUI RESSEMBLE SI TU CONNAIT UN EXPERT COMME CLIO FAIS MOI SIGNE 😎

      • Korie dit :

        Eh bien ! D’où l’expression « en faire tout un foin » !
        😀 un vrai feuilleton d’aventure cet article ! Je reste cachée derrière une meule et j’observe qui d’AS77 ou de jms ou bien encore d’indiana va dégainer la faux (ah bah si c’est une faucille ce sera certainement AS77 !) si c’est une serpe (Indiana, en souvenir de l’orvet) et si c’est la faux ce sera jms (car il ne dit pas toujours la réalité). Qui viendra les secourir ? Chevalier jna ou chevalier amorel ? :#

        • jna dit :

          moi, je ne dis plus rien. Je parle des meules et jms me dit que je suis un vieux croûton ! qu’ils étaient plus évolués dans le sud ouest …; tout ça parce qu’il n’a pas bien lu mon écriture !
          Pour ce qui est du massacre au marteau et à la faucille, il faut se référer à un excellent film en la matière qui vient de repasser à la TV : la cité de la peur. Le débat du jour aurait trouvé sa place dans le film.

          • Korie dit :

            Jms n’a pas été élevé avec les loups comme toi, c’est un gamin qui ne connait pas la vie. Laisse-le causer il ne voit pas la paille qu’il a dans l’oeil 😎 bon, je rentre aïe ! La paille ça pique les jambes ! J’ai des griffures plein les mollets à surveiller derrière ma meule. Finalement, je ne sais pas ce que j’aime le plus maintenant : la paille, le foin ou la peinture ? En tout cas je me sens bizarre… C’est de l’herbe après tout… 😎

            • Clio dit :

              Mais oui c’est Korie qui a raison !

              Finalement, ce que l’auteur a voulu nous montrer par ses indices dans les tableaux et les photos, c’est l’herbe.

              Korie dit « C’est de l’herbe après tout… »

              Et c’est le seul indice valable dans cette peinture de Migneaux. Une maison, et de l’herbe derrière ou plantée dans le jardin.

              Encore un scoop pour M6 et les émissions à sensation. Probablement, y a-t-il là quelque piste à explorer pour découvrir des cultures marginales qui intéressent manifestement notre auteur expert en herbe, je veux dire expert novice et dans le même temps studieux des herbes à rêver.

  7. Clio dit :

    J’abonde en tous points et j’applaudis au commentaire de George qui, tout comme JNA, sait exposer des vues et des éléments bien plus intéressants que l’article même en haut de page. Lequel n’apparaît plus que tel qu’il est et a toujours été, un prétexte à débats plus ou moins glorieux.

    Et je me réjouis de cet internet qui fait fi de toute hiérarchie de publication, car on y sent tout de suite ce qui excelle et ce qui est véléitaire.

    La méthodologie, la méthodologie et la méthodologie font l’historien.

    • jms dit :

      Bien sur que le commentaire de Georges est intéressant. Mais il ne faut pas le comparer à l’article de IJ. Dans un cas on a un discours sur la méthode, dans l’autre on a un exercice concret, peut-être imparfait mais qui ne demande qu’à s’améliorer.

      J’apprécie que vous vous réjouissiez des qualités des échanges internautes que nous développons sur ce site, loin de toute pensée unique ou académique et en donnant sans chance à tout un chacun, selon ses talents et ses envies.

      • Clio dit :

        @ jms,

        Merci de ne pas dénaturer mes propos.

        Je n’ai jamais suggéré que les académies disent une pensée unique, ceci est votre invention, probablement due à une crainte qui m’est étrangère.

        Pour ma part, je n’ai jamais pensé qu’il fallait construire son savoir contre des instances en place, car celles-ci sont les garantes et les conservatoires des connaissances passées qui nous sont les plus utiles.

        Je ne comprends pas un mot à votre combat contre les « professionnels », ou contre les « académies » ou contre la « pensée unique ». Tout ceci m’évoque des combats d’adolescents sur l’internet dont je ne suis pas.

        Et pour basculer tout le bâtiment de l’histoire, il en faudra plus que cette meule malhabile.

        • Clio dit :

          J’ajoute que, lorsqu’on se bat contre les académies et la pensée unique, on cède bien souvent à la tentation de faire la promotion ou de publier exactement le contraire du discours officiel.

          Et c’est la porte ouverte à toutes les charlataneries qui se vêtent des couleurs de l’histoire, tout en nous racontant des fables à dormir debout.

          C’est ce qu’on appelle un présupposé.
          Et tout le discours des pseudo-historiens est teinté et motivé par cette volonté sous-jacente d’en dire aux historiens et professionnels. Aussitôt, on voit apparaître les soucoupes volantes et les martiens qui auraient construit les pyramides. On en est là.

          Certains ont même écrit des livres en exposant ces théories.

        • jms dit :

          Je vous renvoie vos propos. C’est vous qui dénaturez mes propos. Je n’ai jamais prétendu que les académies véhiculaient une seule pensée unique, même si c’est parfois le cas.
          S’il vous complait de défendre les professionnels, j’ai le droit de défendre les amateurs, même si c’est une chose que vous avez du mal à comprendre et à admettre. Internet est précisément le lieu où cela est possible, et nous sommes très fiers de pouvoir exercer ce droit, en dépit du mépris des élites que vous semblez défendre.
          Et vive la meule malhabile !

          • Clio dit :

            Je m’amuse trop a vous voir conspuer les élites ce pendant que vous agissez en autorité sur ce site.

            La chose qui dérange, c’est que le lecteur ou le commentateur ne se plie pas à la ligne éditoriale du site ou aux Instances qui le dirigent. C’est la vieille histoire bien connue, et le lecteur n’est certainement pas dupe.

            Acceptez d’autres discours que les vôtres et Crécy sera peut-être moins une zone fortifiée hostile à toutes les incursions étrangères.

            😀

            • jna dit :

              « conspuer les élites » : savez-vous que c’est de là que vient le terme de tireur d’élite. Celui qui abat les élites. :-b)

            • jms dit :

              Vous vous égarez et au passage portez des accusations totalement infondées.

              Soit vous n’avez pas compris le principe de ce site, soit vous vous complaisez à provoquer.

              Il n’y a aucune autorité ni directoire sur ce site, et il n’y a jamais eu de ligne éditoriale, sinon celle de la liberté d’expression ce qui est la moindre des choses en démocratie.

              On accepte les avis de chacun. La liberté d’expression est la première règle, dans le respect des personnes. Il en est ainsi depuis des années (une bonne dizaine maintenant). La meilleure preuve est qu’on vous laisse vous exprimer librement, même si on n’est pas d’accord avec tout ce que vous dites.
              Il n’y a aucune incursion étrangère, il n’y a que des gens qui discourent en toute liberté, vous comme moi.

    • jna dit :

      @ clio
      Vous êtes bien indulgent avec moi. Je le serai moins avec vous. J’apprécierais beaucoup que vous mettiez de temps en temps votre plume habile au service du site. Ce serait une valeur ajoutée incontestable pour notre site. (L’usage du pseudo permet de préserver votre réputation, aucun risque d’être exposé à la raillerie de vos pairs de l’Université.)
      Cependant je constate que vous vous manifestez surtout pour tirer à boulet rouge sur notre ami Indiana. J’ignore ce qui motive cette réaction et peu importe. Je commence à bien connaître Indiana, et je dois dire que j’apprécie beaucoup l’homme. J’apprécie aussi les articles qu’il nous propose, même si parfois il remet en cause un peu rapidement certaines de mes « théories » ou interprétations, preuve qu’elles sont insuffisamment étayées.
      Ceux qui contribuent à l’animation du site, en proposant un texte, le font en général pour partager une idée, un centre d’intérêts. C’est cela à mon avis ce qui nous motivent, partager quelque chose avec les Brionautes. Parfois ça ne marche pas, c’est le flop. Pas ou peu de commentaires et tout est dépeuplé. Si par exemple, ces derniers temps je m’amuse à proposer des articles autour de cartes postales anciennes, c’est que j’éprouve un certain plaisir à mettre en scène les cpa de ma collection, plutôt que de les laisser dormir dans leur classeur, avec le secret espoir que cela vous amuse un peu. Ce n’est que du plaisir, car au bout du compte ça ne « rapporte » rien.

      Nous ne sommes pas obligés d’adhérer à ce que les uns ou les autres écrivent et parfois nous le disons, mais jamais je crois nous ne le faisons avec méchanceté. Parfois, je me demande si ce n’est pas différent chez vous.

      • Clio dit :

        Je crois que vous gagneriez à éditer une sorte de charte du site pour bien prévenir le commentateur que les critiques sont interdites.

        On éviterait ainsi les malentendus et de froisser les esprits fragiles. 😀

        • jms dit :

          Il n’y a pas une « sorte de charte », il y a une charte de déontologie accessible en ligne depuis 2005 (en dessous de « qui sommes-nous » dans le bloc gauche du site). Elle permet à chacun de s’exprimer.
          Elle permet les critiques, la meilleur preuve est que vous pouvez vous exprimez librement y compris en critiquant. Peut-être auriez-vous souhaité que nous interdisions de critiquer vos critiques ? Mais non, la liberté d’expression, c’est dans les 2 sens que ça marche !

      • Florence dit :

        C’est vrai qu’on peut exprimer un avis différent de façon claire mais sans rabaisser l’interlocuteur.

        • papounet dit :

          j’ai loupé l’OVNI; j’étais en belgique flamande pendant quelques jours;il va falloir que je remonte à l’article initial pour voir de koikonkose????? :#

          • papounet dit :

            Alors que ce sauvage administrateur qu’est le ci-devant JNA vient (par erreur d’it-il )de me supprimer un début de commentaire plus « les pieds dans la bouse » que tous les doctes commentaires que je viens de lire en surmultipliée…
            pourrais-je modestement rappeller à nos élites que ce site est (ou plutot était,c’est JNA qui l’avait dit.)..le portail de la brie?????y revenir un tantinet et le pousser plus loin sur des réflexions ou sujets un peu plus »terre à terre » de Brie bien sûr????? :paf

            • Florence dit :

              Ah mais où est-il le commentaire de Daniel ? On le veut
              🙂
              Ceci dit, et il fallait le dire c’est très important, je persiste et signe, tout a sa place dans la vie, parler majoritairement du pays créçois OK. Mais ne parler que des embarras de circulation à l’intersection de la rue machin et de la rue chose, ou du barreau c’est casse-pieds.

              • retraitactif dit :

                bravo florence. :-a)

                • papounet dit :

                  vivement que JNA sorte de son spleen pour remettre un peu d’ordre et d’humour dans toute cette littérature pseudo BHListe. 😛

                  • Clio dit :

                    Son truc c’est d’abattre les élites. C’est lui qui le dit !
                    Il doit être en train d’hésiter entre les Brigades Rouge, la Bande à Baader ou Al Quaïda, mais en Brie !

                    Avec JMS qui fait une fixette sur le pro et les élites académiques, c’est bientôt la canal historique de la Brie qu’on va voir encagoulé en une des articles.

                    Et Jones, avec toute son équipe de négres qui écrivent ses articles et rares commentaires, nous retrouvera sans doute des filiations remontant à Salomon et ses Claudettes, qui est enterré près de la Collégiale là où ça sent trop le fromage. C’est une piste à meuler.

                    C’est le site-à-JMS-JNA-Jones le site des 3J ! et y a intérêt à filer droit sinon on t’explique fermement qu’on veut pas de toi, ou que tu dois prendre Charles de Gaulle comme pseudo, car là tu as des preuves que t’as des rues à ton nom. C’est le moins qui est exigé pour être admissible.

                    • jna dit :

                      « Son truc c’est d’abattre les élites. C’est lui qui le dit ! » : moi, j’ai dit ça ? Où, quand ? je ne sais même pas ce que c’est une élite.

                      :#

                    • Clio dit :

                      Je copie/colle pour les étourdis fans du docteur Alzheimer :

                      « Re: O.V.N.I de fin d’été à Voulangis ! (Score obtenu : 1)
                      par jna le Jeudi 30 août 2012 @ 14:30:26
                      (Informations sur l’Utilisateur)
                      conspuer les élites : savez-vous que c’est de là que vient le terme de tireur d’élite. Celui qui abat les élites. « 

                    • papounet dit :

                      heureusement que c’est un site « qui ne veut pas de toi »(selon toi)…
                      que serait-ce si c’était un site qui veuille de toi :#
                      vous pouvez coller après JMS-JNA- jones???RA pour faite un compte rond. 😉

                    • jna dit :

                      Tous pour Un, un pour Tous ! :=!

                    • jms dit :

                      Mes amis gardons-nous de faire de Clio un martyr !
                      S’il est vrai qu’il nous agace et nous snobe, il faut lui reconnaitre un certain talent. Il écrit bien, sans fautes. Il a de la culture, de la répartie, il sait argumenter. Ce ne sont là que des qualités que nous reconnaissons et que nous respectons sur ce site. Il lui manque peut-être un peu d’humanité, de compassion, mais peut-être est-ce parce qu’on ne le connait pas.
                      D’ailleurs est-il homme, femme, fantôme ou simple concept ? Que de mystères !

                    • AS77 dit :

                      clio, le seul modèle que RENAULT arrêté suite à des problèmes dans le cerveau frein

                    • jna dit :

                      et à lire tout cela, je suis content d’avoir acheté une Peugeot. 😛

            • georges dit :

              promis! d’main en r’venant d’chez Ganot, j’vous donne la r’cette de la p’tite meule de p’teux à la gnôle.
              c’est du sérieux!

              signé: un amateur de fromton de Brrrie averti !

              • Clio dit :

                Ouais le site ranplanplan y en marre, faut que ça bouge.

                Les élites des Brionautes au placard. On veut du neuf.

                Et des vraies histoires de la Brie, pas ces fausses histoires d’articles destinées à nous vendre de la petite politique locale, et juste pour placer deux trois édiles ou des petits histrions en cherche de fiefs.

                Y en a marre des articles sur la meule qui décore le rond-point financé par l’UMPS, on veut des vraies machins qui nous racontent l’histoire du fromage au lait cru. Pas vos machins moulinés par la censure. 😀 😀 😀

        • AS77 dit :

          il ne rabaisse pas ,c’est une histoire de jalousie .personne instruite ,qualifié ,ayant des connaissances dans un domaine ? mais critique avant tout, il doit être un goujon je le taquine il ne répond pas ,quand un être possède des connaissances ,avec un brin de cervelle il doit être souple ,et aider . :# mais la rancœur ,éloigne l’âme sœur 😐

          • AS77 dit :

            CLIO ?j’ose espérer qu’il sera présent à L’AG le courage est plus difficile que la critique sous couvert de l’anonymat :b

            • georges dit :

              Arrête ton char, Benne Hure!

              • georges dit :

                la dernière toile de jna, j’adore !

                Ah oui c’est Mieux !! ça fait tout de suite beaucoup moins croûte !
                …et un peu plus croustillant !
                Et Vive l’Art contemporain enfin accessible à Tous !!

                • Clio dit :

                  Tiens ! mon commentaire a été censuré deux fois.

                  C’est probablement ce que jms appelait la liberté d’expression.

                  Je note au passage que le nom de l’auteur a disparu en tête d’article, ce qui est plus conforme à la réalité. Puisque tout démontre qu’il n’écrit ni ses articles ni ses rares commentaires. Car il a besoin d’assistance manifestement. Tout autre individu pris dans une polémique, aurait répondu au moins deux fois. Comme chacun des commentateurs.

                  Et c’est là l’indice, Jones ne répond pas ou si peu, car il ne peut le faire qu’avec une assistance ou un nègre. C’est manifeste ! et s’il voulait nous prouver le contraire, on en serait ravi. Par exemple, en écrivant un commentaire de 10 lignes pendant l’AG devant témoins. Mais ça c’est probablement plus difficile à mettre en oeuvre que de censurer en douce les coms qui ne conviennent pas.

                  [ Répondre | Parent ] 🙂 🙂 🙂

                  • jms dit :

                    Je n’ai pas rien censuré. C’est probablement jna qui l’a fait, et s’il s’agissait de commentaires comme celui-ci il a bien fait.
                    Là on n’est pas dans la liberté d’expression, on est dans l’attaque personnelle, ce qui est contraire à la charte mais également susceptible de poursuites. Je vous demande donc de ne pas continuer dans cette voie.

                    • Clio dit :

                      Ce qui est susceptible de poursuites c’est ceci :

                      « Donc, suivant une certaine logique, tous les artistes peintres sont malhonnêtes( n’est-pas Monsieur Clio, simple copiste !). »

                      Et c’est un commentaire de Jones.

                      Et ce commentaire est en ligne depuis des jours.

                    • jms dit :

                      Un commentaire mettant en doute les qualités intellectuelles d’une personne est susceptible de personne, tout comme une suspicion d’acte délictueux est diffamatoire.
                      De même, et tout le monde ne le sait pas, qu’une allusion à un élément de la vie privée de quelqu’un.

                      Au niveau du site, quand quelqu’un estime qu’un commentaire déroge à la charte de déontologie, notamment s’il se sent concerné, il faut nous le signaler par mail à dcc@laposte.net comme décrit dans l’article 2 de la charte (référence du commentaire, date et heure).

                    • Clio dit :

                      J’ai signalé un commentaire comme diffamatoire et dans le corps des commentaires. Selon vos principes et votre charte, vous êtes donc tenu de supprimer ce commentaire, selon ma demande.

                      Pour le reste, il est parfaitement autorisé de mettre en doute la qualité d’auteur d’une personne, quand cette personne laisse des indices précis et nombreux, et quand plus encore, lorsque le site a lui même retiré le nom de l’auteur de l’article, après que ces doutes aient été émis. C’est imparable.

                      Parce qu’il s’agit de révéler une possible imposture, et c’est ça la liberté de la Presse.

                    • jms dit :

                      Nous examinerons votre demande, à replacer dans le contexte du commentaire.
                      La liberté de la presse ne consiste pas à mettre en doute les qualités intellectuelles d’une personne, et je renouvelle ma mise en garde face à des comportements de ce type, mais ce sera à l’intéressé de se positionner là-dessus.
                      Le nom de l’auteur n’a pas été retiré, c’est toujours IndianaJones, d’ailleurs on n’autoriserait pas de publier un article anonyme.

                    • Clio dit :

                      Vous pensez vraiment que j’émettrais de tels discours sans avoir des éléments sérieux pour les étayer ?

                      La Presse est remplie de mises en doutes de ce genre, car c’est de la première importance de savoir si, en tant que public, on est face à une imposture.

                      Et je constate, que vous employez toutes prévenances les plus controuvées, avant de retirer un commentaire qui attaque directement. Quand vous ne supportez aucun commentaire qui contient pourtant toutes précautions oratoires en exprimant des doutes légitimes.

                      C’est le fameux deux poids deux mesures. Mais je ne m’attendais pas à autre chose. 😀 😀 😀

                    • jms dit :

                      La phrase controversée a été enlevée.

                    • AS77 dit :

                      çà c’est bien vrai mon commentaire envers vous à été enlevé mon AMI sans E . 😎

                  • jna dit :

                    J’ai en effet supprimé un commentaire qui contenait (un de plus) des remarques calomnieuses vis à vis d’une personne physique. Ces propos sont interdits par la charte et il est du devoir des administrateurs de les faire disparaître.

                    Clio nous fait passer de la meule au tas de fumier.
                    Je cite un extrait de son commentaire.
                    « Et désormais, nous avons Indiana Jones l’éboueur qui fait les poubelles de l’art et qu’il vous laisse à la place sur le pavé, des petites toiles de rien sur des chevalets pour bien marquer son territoire et montrer son destin politique dans l’art. « 

                    J’en ai assez de ce genre de propos. Je propose que l’on supprime de compte du dit Clio et qu’on en finisse.

                    • Clio dit :

                      L’honnêteté voudrait que vous citiez tout le commentaire. Mais la fin justifie vos moyens.

                      Supprimez donc aussi les lecteurs en si bonne voie.

                      Il reste que vous montrez que vous communiquez par la peur et la menace. C’est ridicule à notre époque, et sur l’internet.

                    • Clio dit :

                      En tous les cas, nous comprenons, et le lecteur avec nous, pourquoi il n’est que 5 intevenants ou tout au plus moins de dix sur ce site, car vous avez probablement poussé à la porte toutes les nouvelles plumes qui se présentaient avec de neuves idées, ou tout simplement vous avez supprimé leurs comptes.

                      😎

                    • Clio dit :

                      J’ajoute que vous êtes tellement prévisibles que c’est probablement un amusement pour qui lit le fil en entier.

                      Heureusement qu’aucun des cinq de ce site n’aura jamais aucun mandat politique, car on devine assez que vos méthodes seraient pour le moins expéditives et sommaires.

                      Cessez donc de vous montrez si autoritaires en ajoutant le despotisme à l’imposture, car vous apparaissez comme de puérils petits chefs en colère.

                      Vous ne sauriez être un Portail de la Brie dans ces conditions, car la Brie compte certainement plus de 5 personnes et plus que vos 5 avis qui tournent en rond. 😀 😀 😀

                    • jms dit :

                      On constate une fois de plus que votre discours tourne aux attaques personnelles. Des propos blessants et gratuits. On vous prévient que ce n’est pas acceptable et vous agravez un peu plus votre cas.
                      D’abord vis-à-vis de IndianaJones à répétition, avec un certain acharnement, maintenant avec tout un chacun qui essaie de vous rappeler les bons usages.
                      Ce comportement vis-à-vis des personnes ne correspondant pas à nos valeurs de respect de la personne humaine, ne vous en déplaise.

                    • Florence dit :

                      Ce n’est quand même pas difficile à comprendre qu’on peut exprimer un avis différent sans être désagréable !!!!!

                    • AS77 dit :

                      mon commentaire cela va le calmer 😐 :paf

                    • Korie dit :

                      Sur cet article, à part quelques petites blagues, je me suis positionnée en lectrice. N’ayant pas grandes connaissance en peinture ni en bottes de foin, je me suis bien gardée de donner un avis quelconque. En revanche, concernant la polémique que ce sujet banal a finalement provoqué, je choisis de sortir de ma réserve.
                      Dans le fond, Clio, que je connais pas (j’ai cru comprendre finalement qu’il s’agit d’un homme), na pas tort de secouer la fourmillère. On peut regretter la maladresse un peu trop brusque dont il fait preuve, certains diront l’agressivité… Quoiqu’il en soit, avouons que l’ambiance est souvent un peu plan plan et que partis comme ça, le site risque de devenir un site de ptits vieux 😉 je me suis risquée quelque fois à aller dans le sens contraire du vent et j’ai déchaîné la tempête parmi le groupe. Le groupe se résumant effectivement au nombre assez réduit de 4 ou 5 personnes. Se faire secouer le paletot permet de se remettre en question et ça, vous n’êtes pas disposés à le faire. Sincèrement, les propos de Clio ne sont pas plus choquants que ceux tenus trop souvent par AS77. Vous êtes d’irréductibles gaulois, mais ces gaulois, je les aime bien et même si intellectuellement je peux comprendre l’opposition de Clio, il n’en n’est pas de même affectivement et ça me fait de la peine de voir ces irréductibles gaulois bousculés ainsi…

                    • AS77 dit :

                      chère Korie entre vos attaques diffamantes et votre préférence vers la délations, plus vos œillères,et notre cher Clio qui ne bouscule pas ,mais attaque notre ami indiana pas pour son article , mais tous simplement par Jalousie .
                      Nous les vieux gaulois avons bien compris que la tête ne sert pas que à porter les cheveux 😉

                    • jms dit :

                      On s’en fiche d’être bousculés, on en a vu d’autres. D’ailleurs IJ qui était mis en cause a plutôt laissé faire.
                      Le problème n’est pas là. Il est dans le fait que les attaques personnelles à répétition constituent un comportement inacceptable contraire à notre charte et à nos valeurs,
                      Pour moi le sujet est clos.

                    • papounet dit :

                      j’aimerais le croire :=! :#

                    • Florence dit :

                      Ma petite Corinne 🙂 Jean-Michel a eu entièrement raison, et je l’en félicite, de couper l’accès du site à Clio. C’est vrai, comme tu dis, que l’ambiance est parfois un peu plan plan. Mais on n’a nul besoin pour l’animer, ni d’un mépris des plus blessant affiché avec une arrogance atroce, ni d’une façon générale de s’engueuler 😉 Allez, comme le dit notre Président, le sujet est clos. Mais ça il fallait le souligner.

                    • papounet dit :

                      quelle votre définition du plan plan :#

                    • Florence dit :

                      Pas toujours très animé, pas toujours beaucoup d’échanges. Mais je sais que le problème n’est pas facile, et je salue le dévouement de nos administrateurs et membres du bureau :-e)

                    • Korie dit :

                      Je n’ai pas vu le commentaire supprimé dont il est question. Si l’on s’en tient à l’extrait que tu nous donnes jms, tu as effectivement raison. Pour ma part, j’apprécie beaucoup les articles d’Indiana. La liberté d’expression oui mais pas à n’importe quel prix. On est donc d’accord.

                    • papounet dit :

                      pas mal de « brionautes » sont venus puis ont plus ou moins disparu..
                      il y a la concurrence des sites dits »sociaux »ou chacun se regarde le nombril et expose sa vie;il faut croire que ça intéresse le monde.
                      la concurrence des « blogs » eux aussi en perte de vitesse
                      il y a aussi l’impact négatif des prises de bec voire plus et c’est vrai le plan plan genre méoussédon ou le club des poetes pas encore disparus(c’est un avis très personnel).
                      même les sujets plus locaux et ayant des influences sur notre mode de vie locale et notre avenir n’intéressent plus guère car ces sujets (genre « le barreau ») ont été fagocités (orthographe???)par les associations de défense de ceci ou de celà.
                      le manque FLAGRANT d’humour est aussi à mon avis un facteur de démobilisation voire d’abandon.
                      :# 🙁 😉

                    • Korie dit :

                      C’est en partie vrai. Si tu lis le commentaire d’AS77, juste un peu plus haut du tien, tu constates le style qui généralement déplait aux gens (j’en sais quelque chose via certaines clientes). Mais c’est pas pour autant qu’il est censuré. Cela ne me déranges pas outre mesure (sauf les fois où cela a été très loin) car les gens jugent le personnage sur pieds 😉 et quand il parle politique, il dessert la cause de son parti alors tout va bien ! 😛 Parfois il faut laisser ces personnages se défouler afin d’en connaître le fond et c’est parfois intéressant jusqu’au moment où cela devient lassant et on ne le lit même plus. Le problème c’est que beaucoup de personnes érudites se sont détournées du site à cause de cela… Le site doit être un plaisir et non un ramassis de vomis. Bon mes gaulois, je vous souhaite un bon dimanche. J’irai juger le Super U et vous dirai mon avis 😉

                    • AS77 dit :

                      je pense que pour noël je vais t’offrir un miroir et une boussole,le problème que avoir du courage et dire honnêtement ce qu’ils pense ,n’est pas une spécialité bien française

                    • georges dit :

                      -Aurevoir Clio-

                      Elle tenait à me le faire savoir, et me l’a donc affirmé de sa propre bouche, le 2 septembre 2011
                      (pile un an, tiens!) :
                      Mrs_Jones écrit au moins quasiment presque tous les articles et commentaires d’Indiana Jones.
                      « C’est son droit », me direz vous? Eh bien NON, l’Une n’est pas l’Autre!
                      Et l’on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde!

                      Je me suis toujours étonnée que Mrs_Jones ne signe pas ou, au minimum, ne co-signe pas ces productions qu’elle fait bien plus que corriger, selon son propre aveu.
                      Cela donnerait davantage d’équilibre à ce site « masculin », où moi-même je me suis crue obligée de me faire passer pour un homme… Mrs_Jones a d’ailleurs excellé, dans son propre style, pour le sujet sur la Crise!
                      En revanche, elle ne rend service à personne, ou ne fait que fabriquer un personnage factice, en tentant de rattraper et de mettre en forme les idées pour le moins floues et les confuses intuitions inarticulées d’Indiana Jones.

                      Le perspicace et pointilleux Clio s’en est douté par lui-même, et cela lui a sûrement paru de plus en plus agaçant et pénible à supporter.
                      En effet, un texte écrit à une main et demie (ou à deux mains) trahit nécessairement des incohérences ou des ambigüités, indices de deux tournures d’esprit différentes.
                      Surtout, l’impression d’un double jeu où les invités sont dupés, donc pris pour des caves, peut se transformer en amertume ou en irritation.
                      Quelqu’un qui consacre du temps à formuler lui-même chacune de ses propres phrases et pèse lui-même chacun de ses propres mots, dans l’intention de rencontrer personnellement l’écoute ou la réponse de l’autre, a tout lieu d’être déçu!

                      Au cours de la même conversation, ce 2 septembre 2011, j’ai également appris de la bouche de Mrs_Jones qu’Indiana Jones avait prétendu à celle-ci que je lui aurais promis (à lui) que je ne m’inscrirais pas sur le site des Brionautes.
                      Pourquoi ça? Quel risque? Pour qui? Quel était le problème? Etais-je indésirable?

                      De fait, suite à ma série d’interventions sous « visiteur », du 27 juillet au 2 août 2011, sous forme de poèmes, coms et exercice de littérature humoristique, j’ai d’abord constaté que tout à coup :
                      « Les commentaires ne sont pas disponibles pour les simples visiteurs, Enregistrez-vous! »

                      J’ai effectivement pas mal hésité à m’inscrire sur le site, car j’étais souvent consternée de lire certains échanges injurieux récurrents, choquée de découvrir certaines blagues de fond de vase alcoolisée du forum… et j’étais attérrée de voir persister la fréquence des insultes et/ou de l’illettrisme, au fil des commentaires laissés à la suite d’articles travaillés qui ne méritaient pas ce triste sort.
                      Comme je l’ai même dit à Indiana Jones: « tant de technologie pour des commentaires aussi nuls, c’est pas du niveau, c’est dommage! « 

                      Finalement, je me suis laissée prendre quand-même au jeu, considérant l’intérêt des articles, leurs auteurs, leurs qualités, leur vitalité, etc.
                      Indiana Jones m’a montré la procédure pour m’inscrire « sur les Brios ».
                      Et le 18 août, j’écrivais mes premiers coms sous le pseudo que vous connaissez.

                      (ici parvenue je pourrais couper ce commentaire en deux, mais je préfère continuer, merci de supporter cette dernière longueur)

                      Aujourd’hui, je comprends qu’on n’avait pas besoin d’une résurgence de « club des Poètes pas encore disparus ». Alors, rassurez-vous, mon « impact négatif » n’aura bientôt plus cours!!
                      C’est sûr qu’on se crève beaucoup moins les neurones à comparer les chariots de l’Inter et du SuperU;

                      Je comprends, en ayant intégralement relu tout le fil de l’article et des présents commentaires, qu’il n’y avait pas de quoi censurer ou se débarrasser aussi vite fait de Clio. Parce que tout ce qu’il a écrit, même de manière virulente, même un peu fort, est vrai.
                      On lit trop vite et on répond encore plus vite, voilà ce qui m’a sauté aux yeux !
                      Jms, je vous réponds par exemple ici que ma disserte n’était pas juste un discours de méthode, c’est la description de faits vécus et appliqués.

                      Je constate aussi ici, comme en d’autres circonstances, qu’il est très éprouvant pour les gens de lâcher leurs petites ou grosses certitudes, qui les rassurent et qui leur semblent indispensables à leur survie. Au risque de se vanter : ‘je suis dans l’erreur, mais c’est ma mienne’.

                      Ce qui me choque le plus, c’est de constater que sur ce site on tolère (voire on entretient avec une indulgence…) des échanges aussi odieux et provocateurs que ceux de Korie et AS77. Celui-ci l’a même visée sur sa clientèle (« korie les vieilles peaux elle connaît »), et pour moi, ça c’est INSUPPORTABLE !

                      Lorsque Clio vous reprend, les uns ou les autres, sur ce que vous venez de prétendre trop rapidement, il a raison, relisez!
                      Parfois il se lâche, car ça l’ennerve, il rit bien, mais il doit être surtout navré.

                      Moi aussi je suis navrée de voir de belles intentions étouffées par la vulgarité, navrée de deviner l’indifférence opposée à l’effort, navrée de constater des méthodes d’usurpateur inconséquent, navrée de lire des assertions approximatives ou erronées qui gaspillent le temps de ceux qui veulent bien y répondre…
                      Navrée de subodorer des rumeurs malignes, navrée d’entendre des silences signes d’indigence, parfois remplacés par de lapidaires messages de mépris…
                      Navrée du coup du village gaulois, mauvais prétexte à se lancer des poissons pourris sur la tronche, à l’infinix !

                      En dehors de ces impressions délétères, j’en garde des plus positives, offertes par la qualité et le travail de la plupart des articles (jna, jms, etc), par les commentaires pondérés et consensuels de Florence…

                      Je vous remercie de m’avoir laissé de la place pour entretenir cet exercice difficile du poème de circonstance, un défi à relever à chaque fois, quels que soient le temps et l’heure… afin de transmettre le plaisir des mots et de la pensée.

                      O ubliez mon passage
                      V ite, comme une image
                      N ‘a de temps qu’une page,
                      I l n’a d’autre message.

                      Boy-cott georges.

                    • AS77 dit :

                      pauvre Georges et oui la triche un homme une femme l’un se fais passer pour l’autre Georges une femme et clio un homme merveilleux couple dommage ,la peur de vieillir, se sentir plus belle.
                      Toute femme si belle soit elle, devra supporter le changement des ans, mais la laideur est rien face a votre jugement dommage de si bien manier les mots .
                      Sans tendresse intellectuelle et un raisonnement de médiocrité. je vous pardonne même laide une femme est belle si haut vos poèmes vous place si bas votre réaction vous rabaisse .
                      AS77

                    • AS77 dit :

                      La laideur a ceci de supérieur à la beauté qu’elle ne disparaît pas avec le temps. (Serge Gainsbourg)

                    • Florence dit :

                      Pas d’accord pour le manque d’humour Cher Daniel 😉 Je trouve, en particulier, celui de José très fin et délicieux.

                    • papounet dit :

                      ne feriez vous pas partie de ceux qui sont contre ce qui est pour et pour ce qui est contre ?
                      ou voyez vous de l’humour sur ce site à part José assez rare et fin et moi assez souvent mais un peu gras?
                      As 77?
                      korie?
                      georges?
                      clio?,
                      jms,
                      IJ?
                      vous?
                      DITES NOUS….. :#

                    • Korie dit :

                      Tu exagères Papounet ! Tiens, j’ai écrit un mini article que jms va bientôt mettre en ligne. Je lui ai envoyê hier. Tu verras si y’a pas d’humour sur ce site 😉

                    • papounet dit :

                      c’est souvent qu’en on exagère(si peu) que ça attire l’attention…la preuve 😉

                    • Korie dit :

                      L’article a été écrit avant ton intervention ! 😉

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