Mentalité d’aujourd’hui
Beaucoup trop de monde observe sans réagir,
telle une proie qui est attaquée et dévorée, un agneau face au loup ! La plupart des personnes râlent sans jamais bouger dans l’attente que les autres agissent à leur place. De plus avec internet une forme de voyeurisme est apparu, observer sans intervenir même en anonyme. La peur de quoi, de qui, sont-ils heureux, ou bien malheureux ? Temps moderne, fabriques-tu des lâches ou bien des égoïstes ? Je trouve ce comportement humain bien regrettable surtout à une époque où les moyens de communication sont de plus en plus nombreux et performants. |
(article vu 20 fois)
A qui le destine tu ce doigt? 😉
Quel philosophe ce pêcheur !
Je répondrais par rapport à Internet.
Ce formidable outil devrait permettre à tous de s’exprimer, de s’intéreresser aux sujets de la cité, à tout ce sur quoi on demande si peu l’avis des gens. Les outils sont là, on peut en disposer nuit et jour, depuis chez soi, en toute liberté, sans limitation de durée, de longueur de texte, juste dans le respect des gens.
Et pourtant cela se réduit à peu de choses, et même ne progresse guère.
Les gens achètent un ordinateur comme ils achètent un appareil high-tech quelconque et, sur internet se limitent à quelques types de sites, qu’ils utilisent sans la moindre formation à l’outil. Par rapport aux sites d’infos, y compris locales comme le nôtre, ils ont le même rapport qu »avec la télé : on consomme passivement …
Le côté interactif ne trouve pas vraiment d’écho sauf quand il s’agit d’intérêts personnels et immédiats, comme la recherche d’une information précise, les commandes en ligne, passer une annonce, ou se faire connaître au travers des réseaux sociaux.
Ces derniers ont été accaparés par les jeunes et maintenant aussi par les moins jeunes. Y figurer est important pour sa carrière professionnelle, voire politique. Je crois même qu’ils nous font directement concurrence. Eh oui, on croise des brionautes très actifs sur facebook …
Mouih… :# Bah en tout cas j’y suis pas sur facebook… L’ordi, vaccin contre la grippe A ? On risque pas d’attraper grand chose si ce ne sont des crampes aux doigts !
Je suis d’accord quand vous parlez de comportement passif. Ici par exemple, beaucoup de lecteurs mais peu de rédacteurs.
Internet en règle générale : beaucoup de positif mais hélas, beaucoup trop de négatif…
Une règle dans toute communication, quelle soit humaine ou en radiotransmission : il faut plus d’énergie pour émettre que pour recevoir. On peut en déduire quelques comparaisons, c’est à la louche :
– la télé : 1 personne à l’antenne pour 1 million qui la regarde
– les journaux : 1 personne qui écrit pour 1 000 qui lisent
– internet, un site participatif comme le notre : 1 qui écrit pour 100 qui lisent
D’accord, on est meilleur que les medias traditionnels, mais on est encore loin de 1 pour 1 !
Philosophe je ne sais pas..râleur oui.
Un jour un de mes directeurs m’a dit; »Daniel, arrétez de vouloir faire avancer un âne qui ne veut pas avancer ».
Nous sommes à une époque qui je crois va durer longtemps et qui me semble même irréversible, ou tout est à peu près, ou toutes les valeurs humaines foutent le camp l’une après l’autre, ou on ne respecte plus rien etc…
Qui ou quoi a déclenché ça……? très fort est celui qui est capable de le dire; serait-ce une volonté divine? 😉 🙁 :#
chaque mots à son remède , la médecine une spécialité pour chaque maladie,l’orthophoniste,pour réa pendre à parler ,et pour rapprendre à oser qu’el remède a part, le courage vouloir faire avancer les choses se dire que après tout on peu :b ,c’est une façon de montrer a ses enfants que l’on peut etre plus fort que lâche :b
c’est marrant, Platon à son époque disait la même chose… faut dire que la cité grecque a bien mal fini.
si seulement Platon pouvait avoir un effet platonique sur le bon mutisme du bon FRANÇAIS de base ??,à part le foot ou ils ne sont pas brillants sauf pour les primes 😀 et bien se n’est pas terrible ,j aime cette blague Belge achète un français au prix qu’il vaut et revend le au prix qu’il s’estime :b
Français de base ??? Que voilà un vocabulaire bien prétentieux… :# Il ne s’agit pas de baril de lessive ou d’une gamme automobile mais de personnes.
Attention au choix des mots AS77.
Quant aux primes dans le milieu du football, si l’on suit ton raisonnement, on est loin du français de base ! Brrrrrrrr quelle vilaine expression ! 😐
Tu ne pourrais décidément pas faire de la politique car les politiques eux passent leur temps à peser leurs mots et ne sont pas à l’abri d’une fausse note. J’imagine AS77 dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale ! Il se ferait lyncher à l’intérieur par ses collègues et à la sortie par les français de base que nous sommes…
dont je fais partie 😉
j aime le raisonnement de korie au sujet des politiques ,? l’hypocrisie serait elle comme le sucre ,façon d’enlever l’amertume ,moi j’aime bien la blague Belge un reflet de vérité 😉 😎
Personne n’est parfait, mais pas d’accord, Mon Cher Serge, quand les français débinent les français. Ce n’est pas une attitude constructive, et ce n’est pas non plus une attitude juste. Je viens de rentrer après m’être absentée ce week-end. Votre article suscite en moi des quantités de réflexions dont je vous ferai part demain.
les francais ne debinent pas les francais ,chere florence il serait bon de relire un peu les paroles du chant des partisans (Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu’on enchaîne ?
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?
Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh…) : :# il serait plutot temps de sortir de cette torpeur ou l’ont dit amen à tout
tous à la Bastille..ah ça ira ça ira ça ira..les aristocrates à la lanterne. etc… :-d) 😉
Allons enfants……….. 😉
Les français débinent le français, c’est un peu le but du débat sur l’identité nationale. Monter les gens les uns contre les autres, et faire oublier les problèmes, les vrais.
« si seulement Platon pouvait avoir un effet platonique sur le bon mutisme du bon FRANÇAIS de base ??,à part le foot ou ils ne sont pas brillants sauf pour les primes et bien se n’est pas terrible ,j aime cette blague Belge achète un français au prix qu’il vaut et revend le au prix qu’il s’estime »
Tout ça n’est pas flatteur pour nous. Je regrette Serge mais ne jouez pas sur les mots, et ne noyez pas le poisson. Je rejoins Corinne, Je ne m’encombrerai pas de notions comme base ou pas base. Je dirai simplement que le bilan est beaucoup plus positif que cela, et je répéterai que de toute façon, sans pour autant s’aveugler, se débiner de cette façon n’est ni juste ni constructif.
« Nous sommes à une époque qui je crois va durer longtemps et qui me semble même irréversible, ou tout est à peu près, ou toutes les valeurs humaines foutent le camp l’une après l’autre, ou on ne respecte plus rien etc…
Qui ou quoi a déclenché ça……? très fort est celui qui est capable de le dire; serait-ce une volonté divine? »
« une volonté divine », on ne voit vraiment pas comment ! « Qui ou quoi a déclenché ça …? ». A défaut d’être capable de le dire avec certitude on peut toujours réfléchir à la question. J’ai connu comme vous Daniel une société qui a énormément changé. Je suis comme vous très choquée par bien des choses. Mais je reconnais qu’il y a malgré tout des ouvertures qu’on n’avait pas autrefois, où l’on était souvent très intolérant, qui dit ouvertures dit aussi compréhensions, dues essentiellement à la psychologie moderne. Ces dispositions vont dans le bon sens. J’avoue que s’il m’arrive d’être très choquée par des comportements qui relèvent de mauvais côtés de la culture moderne, il m’est aussi arrivée d’être très choquée par des comportements qui relevaient de mauvais côtés de la culture ancienne. Tout ça est très complexe. Ainsi la solidarité par exemple ne vous frappe pas tellement au niveau relationnel, mais à un niveau d’organisation supérieur on a mis en place des quantités de choses qui n’existaient pas autrefois, pour les handicapés, et toutes sortes de personnes fragiles. On a institué des dispositions, financières ou autres, qui n’existaient pas avant pour nombre de personnes en difficulté, financière ou autre. Même s’il serait bon, avec le déficit que nous avons actuellement, de mieux organiser la gestion de ces aides, on ne peut que s’en réjouir. On a humanisé certaines lois.
On en a créé d’autres pour respecter la dignité humaine qui sont excellentes. On traite les justiciables avec plus de respect et d’humanité, bien qu’il y ait un réel problème au niveau de la vétusté et de la surpopulation des prisons. Mais tout ne peut pas être fait immédiatement.
Ceci dit je m’interroge, au niveau relationnel, concernant une perte de valeurs certaine : Nous avons eu pour parents et éducateurs des gens qui avaient connu la guerre, les bombardements, des décès, les restrictions, etc.,et souvent avaient assumé cette période difficile avec solidarité, courage, et ingéniosité. Dans l’euphorie de la paix revenue ces personnes ne se prenaient pas la tête pour rien du tout comme on le fait maintenant. Elles étaient moins difficiles, moins exigeantes, et plus portées aux concessions. En conséquence elles élevaient leurs enfants différemment.
Dans les années d’après guerre la vie, de toute façon, était plus difficile à bien des égards. Il n’y avait pas toutes ces inventions modernes : portables, ordinateurs, micro-ondes etc, qui sont quand même assez répandues et facilitent tellement la vie. Il fallait donc faire plus d’efforts. Tout cela naturellement a généré une mentalité totalement différente de celle que nous connaissons.
A ce sujet il est possible que les sciences et techniques aient évolué trop vite ces dernières années pour que les gens puissent s’adapter psychologiquement. D’autre part il est également possible que le phénomène social épouvantable qu’est la montée du chômage depuis les « trente glorieuses » ait déstabilisé les gens, les chômeurs et ceux qui craignent de le devenir.
A ce problème économique est venu se greffer un problème affectif avec la montée vertigineuse des divorces, dus là encore à un malaise de la société. Alors quand l’insécurité frappe de tous les côtés … Certains mettent en avant Mai 68 … Peut-être… Mais la plupart de nos contemporains, soit n’ont pas connu Mai 68, soit n’étaient pas assez mûrs pour avoir vécu ces événements en connaissance de cause.
Voilà ce ne sont que des pistes de réflexion … Dire que la mentalité actuelle est irréversible, j’espère que non. A mon avis on ne peut jamais savoir comment les choses, et surtout les gens, évolueront. Il est possible que plus de fermeté succède au laxisme actuel. On a déjà vu ce phénomène.
avant de lire votre texte florence a force de tout excuser et de dire Amen à tout ,on régresse, ma chère :b
Mon Cher Serge, relisez-moi bien. Je ne dis pas amen à tout. Je cherche des explications, dont certaines peuvent inciter à l’indulgence, mais non à l’approbation, qui sont deux choses totalement différentes.
Justement, lis-le d’abord.
enfin jais lu, votre raisonnement est humain et d’une certaine façon réel ,je vous répond de cette façon car je l’ai lue avec des yeux de personne honnête ,comme vous ,mais une grande partie de la réalité ne se trouve pas dans notre raisonnement :#
La vie d’aujourd’hui, les gens sont ils vraiment heureux ?le boulot de plus en plus de pression psychologique, dans certains métiers, des horaires décalés, de moins en moins de vie de familles donc plus de divorces quand tu doit courir tout le temps, supporter ton chef, le patron, atteindre des objectifs toujours plus hauts ,8 heures de boulot 4 h 00 de transport ,la société de consommation ta vue venir , crédit à tout va une fois sur endetté tu est obliger de dire amen à tout , la télé ,l’ordinateur , tes enfants ne t’obéissent plus ,si tu n’achète pas la mode dernier crie tu est ringard ,ils sont prés a allez vivre chez les grands parents ,les vacances à crédits même si tu est fauché il faut faire comme tous le monde ,les aides une bonne chose malheureusement certains en on fait un système de vie ,et quand toi tu à des problèmes tu n’a pratiquement plus droit à rien les gens moyens sont sollicités de plus en plus ,car ils ont du cur ,donc ils disent toujours oui ,et ceux qui gagnes le plus d’argent en paient le moins styles impôts et autres , sinon les capitaux partent à l’étranger cela c’est normal pour eux ,mais toi petite gens si tu ne paie pas, le peux que tu possède on te le prend ,quand tu calcul la nourrice ,les deux voitures les crédits pour la maison, les meubles, l’électroménager, le chauffage ,les vacances etc. que tu vas bosser jusqu’à 70 ans ?et bien si c’est cela la belle vie, et bien cela me peine ,conclusion on ne vie qu’une fois se contenter de peu pour être heureux
« sinon les capitaux partent à l’étranger ». Ca c’est de l’histoire ancienne. Cela va devenir de plus en plus difficile, sinon impossible.
Là vous révez chère Florence, les capitaux naviguent comme ils veulent.
Il y a 35 ans, c’était déjà comme ça : la course, le patron, la nourrice etc. Quelle époque prends-tu donc en comparaison ? Si c’est avant 35 ans, n’est-il pas normal qu’il y ait des évolutions ?
Tout fout le camp ? Bah écoute, à cause de qui alors ? La génération actuelle, c’est justement celle d’il y a 35 ans et qui connaissait déjà la course, le patron, la nourrice etc. autrement dit : NOUS.
Les jeunes mal élevés d’aujourd’hui sont éduqués par notre génération et quand il y a défaillance c’est dû aux parents qui eux ont été élevés par la génération précédente non ?
Tout fout le camp ? Une partie fout le camp, le tout c’est de savoir s’entourer, préserver ses valeurs, les transmettre. Comment veux-tu que ceux à qui on n’a pas appris certaines valeurs solides puissent à leur tour transmettre du bon ? C’est un cercle vicieux, il y aura toujours des « brebis gâleuses » comme il y en a toujours eu.
Tu parles du divorce. J’ai envie de te répondre avec humour : le mariage, c’est pas fait pour les molassons’ 😉
les pauvres femmes qui étaient à la merci de leurs maris il fut un temps en arrière et qui ne travaillaient devaient dire amen à tout ,aujourd’hui les femmes travailles et se sente moins prisonnières 😉
dur dur, pauvre France 🙁
> Il n’y a que deux attitudes : se résigner ou se révolter. Toutes deux exigent la même liberté et la même lucidité. Malheureusement, nos révoltés sont encore et toujours beaucoup trop résignés, et nos résignés beaucoup trop révoltés.
[Julien Torma]
> En se résignant, le malheureux consomme son malheur.
[Honoré de Balzac] :#
Je me demande si Serge n’est pas victime d’une dépression saisonnière, les jours diminuent et le manque de lumière agit sur notre moral.
En prenant un peu de recul, en pesant le pour et le contre, je préfère vivre aujourd’hui qu’il y a trente ans ou quarante ans.
Les trente glorieuses, les années 60 , 70 , j’ai bien connu, j’étais jeune certes , mais je me souviens.
A l’école on travaillait le samedi entier, dans les entreprises c’était 6 jours sur 7. On ne disait pas bon week end, mais bon Dimanche, parce que cela correspondait au seul jour de repos de la semaine.
Les brionautes n’existait pas, internet non plus, les radios libres non plus, il y avait une chaine ou deux, avec le rectangle blanc, si jamais se découvrait le bout d’un sein, que je ne saurais voir. Angélique Marquise des Anges, c’était osé à l’époque et mal noté sur Télérama.
Quand je regarde les possibilités de loisirs et d’activités sur Crécy, les possibilités se sont accrues.
L’Est de l’Europe nous était fermés, on nous faisait peur avec les char soviétiques.
Aujourd’hui à part quelques uluberlus barbus islamistes qui se font sauter à gauche et à droite, nous ne vivons plus dans une menace de guerre permanente avec nos proches voisins.
Oui c’est vrai qu’il y a des chômeurs, que c’est difficile et cher pour trouver à se loger, qu’il y a les délocalisations, que l’ascenseur social fonctionne maintenant plutôt vers le bas, je pense que l’on nous inculqué une illusion : Si tu fais des études , tu trouveras plus facilement du travail, tu seras mieux payé que si tu n’en fais pas. Le monde économique c’est l’offre et la demande, un plombier va mieux gagner sa vie, qu’un chercheur de 3eme cycle dans une spécialité pour laquelle, il n’y pas d’enjeu économique.
Aujourd’hui on essaie de nous faire peur avec le réchauffement climatique, pour nous faire accepter de nouvelles taxes sur les carburants.
Si la température monte, peut être que notre facture de chauffage va baisser, au moins notre consommation.
Qu’on limite les rejets polluants et toxiques oui, mais le CO2, faut-il s’arrêter de respirer ? de travailler, de se déplacer, vive les paresseux qui ne courrent pas, ils rejettent moins de CO2.
Il faut s’adapter au changement climatique, comme l’on fait ceux qui nous ont précédé, ce n’est pas nouveau.
Les viking, lorsqu’ils ont découvert le Groenland, l’ont baptisé Vinland, depuis ça s’est plutôt refroidi…
le débat du « on vivait mieux avant »pourrait être éternel la preuve c’est que je ne suis pas du tout d’accord avec toi…
a l’ école je n’ai jamais travaillé de samedi entier.
Dans les classes on était souvent plus de 30 et on apprenait bien sinon on se faisait baffer par le maitre ou les parents(en plus)
Au boulot( j’ai commencé en 1961) je travaillais le samedi matin jusqu’au moment ou on est pasé de 45 à 42 puis 40 heures par semaine ce devait être vers 1965.
je n’ai pas connu le chomage;;;je me souviens d’une phrase de J Duclos qui à l’époque était secrétaire général du PC;ce devait être sous Pompidou;avec son accent archi- bourguignon: »c’est un scandale il ya 200.000 chomeurs en France sur à l’époque environ 50 millions de français ; quelles sont les proportions maintenant?
L’information;on n’en avait pas beaucoup on était bien plus tranquille que maintenant ou dès le réveil les catastrophes pleuvent.
le sexe -la drogue n’étaient pas étalés partout; on se donnait du mal(mais c’était enthousiassemant) pour arriver ne serait-ce que cela à « rouler une pelle à une gonzesse »(vocabulaire dépoque).
je vivais en HLM avec mes parents ,il y a avait une réelle solidarité entre les gens.
le risque de guerre????on était probablement insouciant mais je me souviens très bien qu’à chaque fois qu’on sentait une menace ce n’était pas pour autant la panique et on n’y croyais pas vraiment.
je me baignais en été dans la Marne à Champigny.
Etc..la liste serait longue.
Je suis née en 1962 (ça faisait un an que tu travaillais RA 😉 ). Il paraît que c’est une excellente année pour le vin 😉 il y a 35 ans, j’avais donc 12 ans et je ne me souviens pas non plus avoir travaillé le samedi entier. Le jour de repos lorsque j’étais en école public élémentaire des filles (les garçons et les filles étaient séparés), c’était le jeudi. Je me souviens que mes parents pouvaient changer de travail facilement, le leader du pc qui criait c’est un scandale s’appelait Georges Marchais, les débats politiques étaient bien plus intéressants que maintenant je trouve. Moi aussi je me baignais dans la Marne à 15 ans mais je ne le ferais plus de nos jours…
Oui la vie actuelle est difficile mais il faut moral garder 😉
Je suis né en 1960 et je me souviens que mes parents qui étaient à leur compte travaillaient le samedi entier jusqu’à une certaine date, il faudrait que je leur demande. Ensuite ils ne travaillaient que le samedi matin et puis ils ont fermé totalement le samedi.
En ce qui concerne l’école, je me souviens qu’en 1973 en 4éme à Meaux à Ste Marie, nous avions encore des cours le samedi matin, et le mercredi matin. Nous avons eu le WE complet à compter de Septembre 1974.
En ce qui concerne l’école le samedi après midi, Korie me fait douter , il faudra que je demande à mes anciens camarades de classes de Voulangis et de Couilly.
Je me baignais dans le Grand Morin, en face de chez moi, mais j’ai passé l’age.
Qu’est ce que ça veut dire : La vie est difficile. La vie est plus difficile ou plus facile qu’avant, ici ou là.
Peut être qu’elle nous semble plus difficile, par rapport à notre enfance, où nous étions insouciant.
Ma parole, c’est le jour des CV ou des confidences sur l’enfance, où est le divan ?
Je vais jouer aussi alors.
Je suis né aussi en 1960, comme mon ami Antoine, les meilleurs !
L’école le samedi après-midi si j’ai connu c’est peut-être la première année en 65 (il n’y avait pas de maternelle chez nous), pas plus. Sauf en Math’ Spé où on nous mettait des interros écrites le samedi après-midi, pour mieux nous préparer aux concours.
Mes parents, comme paysans, plus tard comme expéditeurs de fruits et légumes travaillaient tous les jours, et bien souvent aussi le dimanche. Et ils l’ont fait jusqu’à un age avancé bien au-delà de l’age de leur maigre retraite.
On n’était pas malheureux pour autant. Je jouais dans les champs, les bois, les multiples batiments, greniers et lieux secrets, sans vrais jouets, en m’inventant mes jeux, loin de la société de consommation. Point de supermarché, l’épicier qui passait le lundi nous apportait tout, en échange de quelques oeufs. Le reste provenait de la basse cour et du potager.
La télé était le principal organe de communication. Je regardais tout et connaissais toutes les émissions par coeur. On s’intéressait beaucoup à ce qui se passait dans le monde. Georges Marchais, nous on l’avait à domicile, en la personne d’un cousin qu’on employait comme ouvrier agricole. Comme il prenait son engagement très à coeur, il y avait souvent des débats avec des familiers qui ne partagaient pas les mêmes idées. De sacrés moments, dignes des meilleures émissions de télé ! On lisait le Pélerin (hebdo catho bien connu) et la Terre (journal paysan communiste). De quoi se faire une opinion, et relativiser !
On a eu l’eau courante vers 70 dans cette vieille ferme et le chauffage en … 2009 !
On avait des amis qui habitaient en HLM. Pour nous c’était le grand luxe chez eux, la classe bien au-dessus de nous. Il fallait mettre les patins et on admirait tout ce confort avec envie. Maintenant ces logements sont complètement abimés, et habités par des émigrés. Nos amis ont fait construire un pavillon …
de raconter ces temps révolus ça fait du bien 😉 et ça ne mange pas de pain.
Vous nous parlez d’un temps, que les moins de 20 ans n’ont pas pu connaître, mais à l’époque, c’était bien difficile d’aller en Bohême… allons ne soyons pas hongrie ( ou hongre gris comme vous préférez ).
Hon grie fort pour mieux êtres entendus :b :=!
Allez je m’y mets aussi. Je parlerai de mes souvenirs d’école de l’après guerre. C’était encore un peu les temps héroïques. On n’avait pas eu le temps de pondre des quantités de règles et normes, quelquefois très tatillonnes, mais je ne critique pas, concernant la sécurité et la salubrité. Il fallait parer au plus pressé car l’école avait été amochée par les bombardements.
On nous avait mises dans un endroit sans fenêtre chauffé par un poêle :# 😀 En réalité nous étions au pied d’un escalier donnant sur la rue. Evidemment les conditions d’aération n’étaient pas top. Ca n’avait pas duré très longtemps car ma mère était allée voir la directrice, avait menacé de m’enlever de l’école, et on nous avait placées dans une salle de classe avec au moins une fenêtre. Il y avait quelques pensionnaires qui étaient des élèves dont les parents habitaient à la campagne. Les pauvres, il fallait voir dans quelles conditions elles étaient hébergées. On avait fichu des lits partout, dans des bouts de couloir sombres et poussiéreux dont l’aération était très indirecte. A côté de notre classe, dans l’emplacement qui nous servait de vestiaire, il y avait deux lits, avec un évier pour la toilette !
De temps en temps on nous faisait descendre dans le réfectoire pour nous servir une espèce de bouillie plus ou moins blanche, gélatineuse, et sucrée. Je suppose que cela venait d’une initiative de nos amis alliés destinée à nous booster en vitamines après les rigueurs de la guerre 😉
Une fois on nous avait distribué des cahiers sur lesquels il y avait écrit : « De la part des enfants du Canada ». C’était très mignon 😉
Une chose beaucoup moins chouette c’était les élèves qui, à titre de punition pour avoir mal travaillé, étaient obligées de faire le tour de la cour de récréation avec leur copie épinglée sur le dos
😐 😐
Vous comprenez, et c’est un exemple parmi des tas d’autres, pourquoi j’ai dit qu’au point de vue moral ce n’était pas toujours mieux autrefois que maintenant.
Début du deuxième paragraphe lire : au pied d’un escalier dont la porte donnait sur la rue.
Florence, La bouillie gélatineuse, que l’on vous servait était peu-être du porridge : une bouillie à base de flocons d’avoine, de la part de nos amis écossais.
Comme je l’ai déjà raconté ici, je ne sais pas exactement quand je suis né, vu que mes parents m’ont abandonné dans la forêt en très bas âge. Du coup, j’ai du me débrouiller seul assez tôt, racines, baies sauvages, insectes et petits rongeurs constituèrent rapidemment mon ordinaire. Dés l’âge de 18 mois, je larcinais parfois dans les vergers et les potagers des braves villageois briards, qui me chassaient en me jetant des pierres à l’occasion. Et de fait, je ne m’en serais pas sorti vivant, si je n’avais été recueilli par une meute de loups ; Il y en avait encore dans les forêts de l’est de la Seine et Marne en ces temps là.
Mes parents loups m’ont scolarisé à 6 ans, vu que c’était obligatoire et je me souviens très bien qu’il y avait de l’école le samedi après-midi, pendant les premières années. Quant au confort à la tanière, c’était sommaire, rustique, naturel du genre PNR : pas d’eau courante, ni d’électricité, ni de téléphone, dans la forêt briarde. Heureusement, il y avait un affluent du Grand Morin qui passait près de la tanière, le « Vannetin » qu’on l’appelle dans le langage des hommes, pour nous c’était « l’eau » tout court : idéal pour laver les baies, les braies et faire ses ablutions …. toilette un peu sommaire l’hiver (le bout du museau), mais à très grande eau l’été.
Mes parents adoptifs avaient des loups russes dans leur ascendance, du coup il ne ne s’émouvaient pas à l’idée de voir fondre sur notre territoire des hordes sauvages venues de l’est (j’ai aussi des orignes Huns du côté de mes parents hommes, ce qui explique mes yeux légèrement bridés). Donc, le loup rouge ne leur faisait pas peur et pour tout dire, la vie en clan, c’est aussi une vie de partage. J’ai appris beaucoup, c’était l’bon temps comme dirait le vieux RA.
Ce fût une véritable déchirure de quitter ma meute pour aller au lycée de Coulommiers. Mais bon, en tant que petit d’hommes, je n’allais pas passer ma vie dans la forêt tel un ermite, un loup solitaire ou un Jean Pierre Treiber.
Bref ces années d’enfance ne furent pas de tout repos, mais la nostalgie m’envahit à chaque fois que j’y repense.
Ce n’est pas étonnant qu’après une telle jeunesse notre ami soit resté un peu » sauvage » 😉
je le soupçonne de pêcher la truite à la main ,dans le Vannetin ,peut être en famille avec l’homme des tavernes 😉
Oh non ! il a fondé avec Brigitte l’Association de Défense des Poissons
😉
> Comment se tue en nous l’amour : trois degrés : souffrance, indignation, puis indifférence. La souffrance use l’amour, l’indignation le brise, et on arrive ainsi à l’indifférence finale.
[Charles-Augustin Sainte-Beuve]
nous ne sommes pas indifférents à toi mon AS77
Mon Cher Serge, Je n’avais pas fait la relation, mais croyez que je suis de tout mon coeur avec vous 😉
:=! jna, toujours le même. Je suis pliée de rire !
C’est vrai qu’il a un humour extraordinaire :-e)
sourire quand tu souffre n’enlève pas la souffrance 😉
Jna, c’est Mowgly, Kipling a du s’inspirer de son histoire.
En ce qui me concerne, jusqu’à 9 ou 10 ans, avec mon frère cadet et trois voisins un peu plus agés que nous, trois frères, après l’école ou le jeudi après midi, les prés, les bois et les champs du hameau de Moulangis à Voulangis étaient notre territoire.
Nous fabriquions des arcs de des flèches en noisetier avec des ailerons en plume de pigeon et des flèches polynésiennes , que nous lancions à l’aide d’un accélérateur en ficelle de boucher et qui étaient équilibrées par un aileron en carton avec 4 côtés. Nous avions , nos voisins en tout cas, car nos parents nous les interdisaient , des pigots , appelés aussi lance pierre.
Nous nous entendions bien et la plupart du temps, il faut bien le dire , nous jouions à la guerre, reproduisant souvent les histoires, que nous avions vues la veille à la télévision.
L’hiver sur les hauteurs voulangeoises, à cette époque antérieure au réchauffement climatique, il y avait de la neige, nous faisions de la luge et nous bâtissions des camps de neige, fermés sur 4 côtés, sorte d’igloo sans toit et évidemment nous faisions d’interminables batailles de boules de neige.
Quand je repense à tout cela, je me dis que nous avons eu de la chance, d’avoir autant d’espace avec un paysage et une végétation aussi variée, une biodiversité , comme on dirait aujourd’hui.
Nous pouvions aussi bien jouer à Tarzan en utilisant les lianes des bois des versants sud, q’aux cow boys et aux indiens dans les vastes prairies du versant nord.
y sont matinaux les ceusse qui parlent du temps passé, je n’en vois pas beaucoup qui ont la nostalgie du temps présent 😉 .
On avoir de bons souvenirs du passé et apprécier le présent.
malgré la force médiatique du site http://www.brionautes . com ,il faut reconnaitre que les journalistes sont plus fort que nous .
Des sujets qui pourrai nous permettre de dialoguer et faire avancer le débat , mais malheureusement ont dévie puis ont s’égarent et ensuite ont s’éteint .
Eux les journaliste tous les jours c’est Johnny, Johnny ,cela devient même honteux,vis à vis de sujet beaucoup plus humains-et de problème d’en le monde qui nous concerne.
En écoutant la radio j’ai l’impression de lire France dimanche 😐 :paf
Comme ça tu fais des économies de papier, donc de pâte à papier, donc de bois, donc d’arbre, donc de forêt..plus tu écoute la radio et plus tu préserve la planète. :=!
« Dans les classes on était souvent plus de 30 et on apprenait bien sinon on se faisait baffer par le maitre ou les parents(en plus) »
Je suis contre ces violences. Je ne veux pas dire par là qu’on puisse faire n’importe quoi sans qu’il y ait de réaction. Il y a quand même une chose qui me frappe : Autrefois quand on se conduisait mal on assumait davantage ses torts. On ne tabassait pas comme ça l’instituteur/trice qui vous faisait simplement des remontrances, ni les policiers dès qu’ils apparaissaient pour mettre de l’ordre, quand ce ne sont pas les pompiers ou les médecins qu’on tabasse ! On dirait que le fait de faire du mal est considéré comme un « droit de l’homme », et que dès qu’on rencontre de l’opposition à ce principe, alors on se révolte 😐 😐 😐
à notre époque on apprenais la politesse ,le respect des autres ,et on craignait nos parents ,de plus ,à partir d’une certaine heure pas question de sortir de plus dans une bagarre il y avait un respect de l’homme à terre on ne le frappait plus ,une partie de certains jeunes qui sorte en bande ,lâches et sans loyautés,certains sont pires que des animaux féroces , 🙁 😐
bravo :-e)
tu à bien raison :-d)
vive la France :-b)
ou en est Johnny :#
superbe époque,etc etc…..??? 😐
tu va bien ,je vais bien 😉
soit disant, que demain sera un autre jour 😎
demain ce sera vendredi
😮
C’est pas faux.
Mais je rappelle :
– qu’on n’est pas payé au nombre de commentaires,
– que le nombre d’interventions ne préjuge en rien de leur pertinence (comme à l’assemblée nationale en somme),
– que la quantité ne fait pas la qualité,
– que c’est pas ça qui fera arrêter de neiger.
« à notre époque on apprenais la politesse ,le respect des autres «
C’est vrai mon gars
Je vais d’ailleurs illustrer ton propos par un exemple :
Aujourd’hui quand on prend le train de banlieue pour aller travailler ou en revenir chez soi, après une longue journée de labeurieuse, il en est toujours quelques uns ou quelques unes pour nous casser les oreilles avec une conversation téléphonique qui ne nous regarde pas et ne nous intéresse pas. Pas en chuchotant, non en causant haut et fort comme s’ils étaient chez eux?
C’est une impolitesse caractérisée, un manque de respect, comme tu dis.
Avant, c’était différent. Il y 10 ou 15 ans, quand on prenait le train entre Esbly et Paris, il n’y avait personne pour nous casser les oreilles avec un bigophone. Non, ce n’était pas la même époque, il y avait juste quelques emmerdeurs qui prenaient le train à Villiers et qui racontaient des vannes graveleuses tout au long du trajet jusqu’à Paris et qui parlaient fort pour qu’on les remarque. Les voyageurs les connaissaient et les qualifiaent d’ailleurs de tous les noms d’oiseaux.
C’était pas de l’impolitesse en c’temps là, ni du manque de respect des autres, juste des gens qui avaient du savoir vivre 😉 :=!
des artistes en quelque sorte 😉
Des gens de Villiers ? je me demande bien de qui il peut s’agir :#
je comprend mieux le sens des 1ère classe et les 2ème classe les gens de VILLIERS avaient inventé le train théâtre 😉
« Les voyageurs les connaissaient et les qualifiaent d’ailleurs de tous les noms d’oiseaux.
C’était pas de l’impolitesse en c’temps là, ni du manque de respect des autres, juste des gens qui avaient du savoir vivre »
Là José expliquez-moi, car j’essaie de suivre un fil logique et je n’y arrive pas, ce qui fait que je ne comprends rien.
Qui avait du savoir vivre les gens qui racontaient des vannes ou ceux qui les traitaient de noms d’oiseaux :# :#
A mon avis aucun des deux. Ah Cher José je n’arrête pas de lire et relire votre commentaire, en essayant de relier les phrases l’une à l’autre de façon logique, et en pesant chaque mot, sans avancer. Aidez-moi vous me perturbez complètement 😀 😀
sacré JNA je pense que pour 2010 la destination de ses vacances sera l’Italie ah Florence ,bellisimo 😀 😎 :-b)
OK, je précise, car il y a en effet une ambiguité.
la phrase : C’était pas de l’impolitesse en c’temps là, ni du manque de respect des autres, juste des gens qui avaient du savoir vivre » s’applique aux perturbateurs bien sûr
Seulement, comment auraient-ils pu être impolis puisque tout le monde avait appris la politesse, si j’en crois notre ami pêcheur …
😛
Apparemment, il y avait de l’ambiance dans ce train.
un poli ne peut être rude 😛
:-b) je ne peux pas vous laisser parler ainsi :
« LE PECHEUR ET LE BOULANGER »
…… moi « aussi » un jour, un de mes employés me dit » on n’y arrivera jamais « …. et les objectifs ont été dépassés, ….. bien sûr cela m’a coûté « un kilo de carottes » et bon . . . . c’est à comparer à la brouette de blé récoltée, no comment ! Quand on veut on peut !
Bien sûr beaucoup de choses sont irréversibles, bien sûr il faut accepter l’évolution.
Mais certains baissent les bras bien trop tôt; le pantalon bien trop vite et le moral bien trop bas.
Il n’est pas nécessaire d’être si fort que cela pour deviner, sans être devin pour autant, et surtout en ayant un tout petit peu de bon sens, que ce qui manque souvent à la société ce n’est pas la volonté divine mais plutôt LA VOLONTE tout court !
La volonté d’avoir du bon sens sans trop regarder autour de soi, en somme :
« BIEN FAIRE ET LAISSER BRAIRE » !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Les valeurs humaines existent toujours et sont de plus en plus mises en valeur comme :
La recherche maximum de profits !
Le manque de respect pour les faibles, la nature et les animaux !
La peur grandissante du pouvoir et de ses répressions !
Les tromperies au plus haut niveau des rouages de la société !
Les mensonges permanents des hommes politiques !
La grande corruption « mondialisée » est toute autre que celle pratiquée en Chine ou en Russie mais elle a les mêmes effets, elle rend les gens plus égoïstes, aigris, repliés sur eux-mêmes et finalement peureux, résignés, moutonneux . . . . . le rêve absolu des dictateurs.
Ne dites pas que ce pêcheur est un râleur, ne faites pas semblant de savoir s’il est philosophe ou pas, ce n’est pas important …. lui au moins il a les yeux plus ouverts que la moyenne et des couilles (de rital d’accord) mais les couilles de dire la vérité.
Pour moi dans tout cela « dieu » n’y est pour rien mais les hommes pour beaucoup.
A qui peut-on faire confiance aujourd’hui ?
Aux banques ?….. elles vous prêtent de l’argent si vous n’en avez pas besoin, il vaut mieux donc ne pas en avoir besoin !!! …. et elles vous volent si elles le peuvent !
Aux assurances, elles empochent les primes mais c’est mieux de ne pas avoir de sinistres.
A France Telecom, plus voleurs qu’eux on meurt !!! Ils ont été condamné à des milliards …… avez vous été remboursés ????? …. non, moi non plus ….. c’est l’état qui a tout empoché.
Et l’état … .. .. ….. ne croyez pas que cela soit VOUS !
VOUS vous n’êtes tout juste bon qu’à BEEEEHHHHHHHHH ….. quand ils auront besoin de vous pour se faire réélire !
Je voudrais pour finir vous donner un bel exemple de la « connerie humaine » et vraiment avec un grand C.
Malgré que cela ne soit pas très élégant de commenter des décisions de justice, aujourd’hui 17 décembre sur TF1 arrive l’information suivante : un boulanger a été condamné par la justice française à 1500 euros d’amende car il claxonnait dans les campagnes du petit « tut » « tut » que tout le monde connait bien pour prévenir les villageois de son arrivée le matin à partir de 9 heures.
Une dame a porté plainte (cela la réveillait), la plainte a été retenu par le procureur et le juge a condamné !
A cause d’une personne qui peut-être devrait se coucher plus tôt et donc sortir de son lit avant 9 heures, à cause de cette personne, le boulanger a arrêté ses tournées. Conclusion, le préjudice qu’il subit est bien plus grand que celui de la dame. Des centaines de personnes sont maintenant dans le besoin, au lieu d’une voiture qui fait la tournée, ce sont des dizaines de véhicules qui doivent prendre la route, perdre du temps, de l’argent, polluer la planète de CO2 pour les gens qui ont un véhicule. Mais pour les autres comme il y en a de plus en plus . . . pas encore morts mais plus très vivants, ceux du quatrième âge !!!!!!!!!!!!! …….. ce juge veut donc les faire mourir plus vite en les privant de pain pour ensuite ne plus avoir à leur verser de retraite ????????? Non je n’y crois pas !
Voilà ………. ce sont des hommes qui agissent ainsi, ce n’est pas dieu.
Mais si j’avais le pouvoir de ce dieu dont vous parlez, je crois que je condamnerai ce juge (gare au gorille) à 6 mois de travaux d’intérêt général pour avoir été aussi idiot.
Et pourquoi pas ???? ….. à livrer le pain à tous ces pauvres gens qui n’attendent maintenant que la mort arrive enfin pour les soulager de toutes ces misères.
Le vengeur masqué du pêcheur philosophe………..
bellisimo? enfin un humain :-b)
tu l’as payé combien à ce visiteur ?
qui à parlé d’argent (tu la payé combien)que né nie,mon cher l’intelligence cela se partage :b
vous regardez trop la télé.
Ecoutez une amende de 1500 dans ces conditions ça me paraît vraiment extravagant. Il doit y avoir des choses que vous ne savez pas, comme des circonstances aggravantes par exemple. Les médias déforment parfois tellement les choses. C’est un lieu commun auquel je n’accordais pas tellement d’importance jusqu’à ce que l’anecdote suivante m’en convainque. Un jour une de mes cousines me dit : « Au bout de 30 ans sans mouvement l’argent placé à la Caisse d’Epargne va à la Caisse des Dépôts et Consignations et on le perd. Ils en ont parlé à la télé. » Point barre. Ca me paraît bizarre. Je demande un rendez-vous à l’Ecureuil. L’homme qui me reçoit m’explique qu’il y a des cas extrêmement rares où l’on n’arrive pas à retrouver le titulaire du compte. C’est généralement dû à la conjugaison de plusieurs facteurs. Evidemment un changement d’adresse non signalé ne facilite pas les choses. Dans ce cas l’argent va effectivement à la Caisse des Dépôts et Consignations au bout de 30 ans sans mouvement. Mais il faut savoir que le relevé de compte annuel est considéré comme un mouvement, même si on n’a fait aucun versement ni retrait. A partir du moment où l’argent est à la Caisse des Dépôts et Consignations les intérêts cessent de courir. Mais par contre le titulaire du compte ou ses héritiers peuvent toujours récupérer l’argent.
Et voilà comment les médias racontent l’histoire …
Le reportage !http://videos.tf1.fr/jt-13h/1500-euros-d-amende-pour-un-coup-de-klaxon-5597861.html
Il fut un temps où l’on ne s’embarrassait pas de détail. Une fiole de poison et c’était bon ! La Bonassieux en sait quelque chose ! Dans ce temps-là on respectait les traditions au moins ! C’est pas Dartagnan qui me contredira 😎
Tiens une Milady toute droit sortie des 2 mousquetaires.
Cela manquait, le romanesque sur le site, merci de cet air frais (par -6°C on s’en passerait certes …) mais ça aide l’esprit. Alors c’est qui cette Milady dans l’univers créçois ? qui est le méchant cardinal et le gentil D’artagnan et le gros Porthos ?
C’est tout à fait normal de voir sortir milady par un froid pareil, n’oublie pas qu’il s’agit de Milady de Winter!
Milady c’est un peu restrictif, moi je préfère une lady entière. 😉
C’est peut-être une femme tronc.
Si notre rital en a par son franc parler, toi visiteur anonyme, où sont-elles passées ?
Vu que tout ce que tu écris, ce ne sont que des généralités, quel risque prendrais tu à te démasquer ?
je le trouve pas mal mon vengeur masqué ,il est vrai que malgré toutes ses restrictions ,le Français est trop cool(
> > L’HISTOIRE EST UN ETERNEL RECOMMENCEMENT
Comment créer de nouveaux impôts ?
> >
> > Colbert : Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J’aimerais que Monsieur le Surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou
> > > > Mazarin : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’Etat L’Etat, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’Etat en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les Etats font ça.
> > > > Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
> > > > Mazarin : On en crée d’autres.
> > > > Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.
> > > > Mazarin : Oui, c’est impossible.
> > > > Colbert : Alors, les riches ?
> > > > Mazarin : Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.
> > > > Colbert : Alors, comment fait-on ?
> > > > Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage ! il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser C’est un réservoir inépuisable.
> >
> > Extrait du « Diable Rouge
« jais rajouté cette blague bien réel encore à notre époque ,et qui prouve que le français (de base) même si il ne va plus à l’église croit fortement en dieu et aux miracles
>
>
🙁 😐
enfin iks ont compris ils ne bêelent :=! plus
il n’y a rien à comprendre, la majorité des Français a voté pour un président de droite en connaissance de cause et à moins d’être des imbéciles on sait ce qu’est une politique de droite.
ils perdurent dans ce choix puisque les représentants qui ont été élus et qui sont donc normalement le reflet de nos opinions votent cette politique.
je ne vois pas les français béler plus que sous d’autres gouvernances passés; raler ou se plaindre c’est dans notre nature.
La petite histoire entre Colbert et Mazarin peut s’appliquer à toutes les époques, quel que soit le gouvernement, et encore plus sous une démocratie. Dans les dictatures les classes moyennes n’existent pas, on empêche leur émergence car c’est aussi d’elles que viennent les idées et nécessairement les oppositions. Dans les démocraties, les classes moyennes ont la possibilité de donner leur avis et même d’accéder aux responsabilités. En contre-partie, elles payent aussi beaucoup d’impots …
ils y en a beaucoup qui on crus les conneries que l’on raconte ,style on aide trop les pauvres ,maintenent je dirai on aide trop les riches et cela c’est une pure réaliter ,bizarra que personne ne parle pas de la fameuse liste des braves riches qui n veulent toujour plus sen payer plus d’impots ,toi le petit tu na pas toute cette ,bienveillance de la part du gouvernement
à force de trop se taire on vous oublies 😎
record sur l’audience du site,faut il toucher le fond pour remonter :# 😮 😕 🙁
:-b)
2 années plus tard et c’est comme ci c’était aujourd’hui :-e)
Concernant » les valeurs humaines » qui « foutent le camp », et le manque de respect, dont parle Daniel, ainsi que l’époque étrange qu’on vit, je viens d’apprendre une nouvelle stupéfiante. Un prêtre s’est fait voler dans sa voiture, son aube, sa chasuble, et son étole. 😐 :paf :#
Ca alors ça vous en bouche un coin. Que peut-on faire de ces vêtements sacerdotaux ? A noter qu’en plus ils étaient très simples. Car il y a des chasubles qui sont coûteuses. Mais même celles-là on ne voit pas bien à qui on peut les vendre. Maintenant il y a toutes sortes de cinglés de tous genres et de tous poils, serait-ce une expression violente, et malhonnête, d’anticléricalisme ??? Ou le geste d’une personne cleptomane, cette maladie psychiatrique qui provoque des pulsions de vols irrépressibles ???