Comment se sortir de là ?

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50 réponses

  1. retraitactif dit :

    produire c’est bien;à condition de pouvoir vendre sa production…

  2. jms dit :

    Je ne voudrais pas que cet article soit l’occasion de débordements un peu trop politique. Le texte de Cindy est déjà limite par rapport à notre déontologie. Restons-en au niveau des idées, en supposant que nous soyons compétents pour en avoir sur des sujets aussi techniques et rébarbatifs que l’économie.

    Sur le fond je trouve l’alarmise de l’introduction un peu exagéré. On nom de quoi peut-on prédire une grande crise économique. La tendance est plutot inverse.
    D’autre part les liens de la politique avec l’économie sont de plus en plus desserés. Le monde est devenu tellement complexe et les pouvoirs tellement diffus que personne, quel que soit son pouvoir n’a d’action directe sur la croissance.

    Et puis la croissance, pourquoi faire ? pourquoi produire toujours plus ? et quel crédit donner au PIB qui n’inclus ni le travail domestique ni l’immense production bénévole des associations ?

    • Korie dit :

      Pourquoi ? Pouvoir produire en France au lieu de faire produire à l’étranger où c’est moins cher.
      Ne mélangeons pas tout jms concernant le travail domestique et le bénévolat.
      Le bénévolat c’est super aux yeux de l’état ! Ca ne coûte qu’aux bénévoles et aux donateurs.
      Si on pouvait produire plus en France, nous n’assiterions pas aux nombreuses fermetures d’usine auxquelles
      nous assistons d’année en année.
      Je pense que  »ce que l’on peut faire soi-même, on ne le fait pas faire aux autres ». Seulement, il faut POUVOIR le
      faire. Contrôler les dépenses ne permettrait-il pas de baisser les impôts ?
      Avez-vous regardé l’émission hier soir sur ce sujet : le classement des universités dans le monde ? C’est illogique que certaines universités ne puissent utiliser leurs propres locaux (qui restent vides) et soient donc contraintes à louer hors de prix ceux qu’elles occupent. Cet argent pourrait permettre d’inverstir dans le remplacement d’un matériel datant des années 50 !
      Notre argent (quelque soit le pouvoir en place j’insiste bien sur ce point), est mal utilisé donc il en faut toujours plus. Et à qui fait-on appel dans ces cas-là ?

      • jms dit :

        Le débat sur ce qu’on peut produire en France est dépassé. Ce qui coute moins cher à produire à l’étranger sera forcément importé, tout simplement parce qu’on ne peut pas fermer les frontières. On a signé des accords internationaux (notamment en tant que pays de l’union européenne) de libre-échange et de toutes façons le protectionnisme conduit à l’isolement et souvent aux guerres.

        Les possibilités d’emploi dans le pays existent, c’est tout ce qui ne peut pas être fait à distance dans les services et tout ce qui est innovation (les produits nouveaux à inventer). Ce sont les seules vraies pistes à creuser.

        Ma remarque sur la production non comptabilisé du travail domestique et du travail des associations (plus le travail au noir) visait à relativiser le chiffre du PIB et donc de la croissance qui est sacro-sainte. Si, pour reprendre une discussion du forum d’il y a quelques jours, toutes les mères au foyer employaient quelqu’un pour faire leur travail quotidien (au besoin en s’employant entre elles), le PIB augmenterait soudain mais globalement le travail accompli serait la même. Comme quoi il faut se méfier des chiffres.

        Baisser les impots ? certes. Mais si cela conduit à ce que l’état investisse moins cela détruira des emplois. Un emploi de fonctionnaire c’est un emploi comme un autre, c’est de la production. Et puis l’état commande énormément aux entreprises, réduire son train de vie (comme disent les hommes politiques) c’est supprimer des emplois dans le batiment, les travaux publics, l’artisanat, les services, … Il fut un temps où l’on relançait l’économie par les grands travaux, ce n’est plus à la mode mais cela marche parfois.

        Les gaspillages ? bien sur il faut les réduire, mais c’est une goutte d’eau au regard du budget de l’état, un truc de journaliste pour faire de l’audience.

        • Korie dit :

          :-c) Pas d’accord au sujet de la goutte d’eau ni du truc de journaliste pour faire de l’audience :-c) :-c)

          • Korie dit :

            🙁 savais pô qu’jétais dépassée 🙁
            Z’yva, comment y m’cause le djeun ! 🙁

            • jms dit :

              La concurrence devient inévitable.
              Alors, comment contrer un produit fabriqué en local avec le même produit fabriqué dans un pays à bas couts ?
              – par la qualité : meilleur produit, meilleurs composants, traçabilité de la chaine de fabrication,
              – par les facteurs environnementaux: prise en compte de l’impact sur l’environnement des couts de transport mais aussi de la production, gaspillage des matières premières, etc

              Bref on peut justifier de fabriquer en France pour des bonnes raisons que le prix « apparent » des produits.

              • Korie dit :

                Vous faites sans doute partie des personnes jms, qui priviligient plus volontiers la qualité au prix (parce-ce que ça dure plus longtemps, c’est parfois plus joli etc…) mais ce mode de réflexion tend à disparaître croyez-moi.

        • retraitactif dit :

          L’état(c’est nous)vit grace à nos impots si nous payons moins d’impots,pour vivre pareillement ou l’état ira t-il chercherle sous si nous en payons moins?
          Chez les mêmes ..on tourne en rond.
          Et puis si on paie des impots c’est qu’on gagne des sous, moi j’aimerais bien payer beaucoup plus d’impots.

  3. lomig dit :

    La consommation est elle une fin en soi ?
    Le matérialisme la seule philosophie de vie ?
    La question est pourquoi paie-t on des impôts ?
    Nous pourrions trés bien les supprimer et ne plus compter sur l’état Providence ….
    Imaginons les créçois entretenir la portion de nationale34 qui traverse leur ville ou réparer le toit de l’église …. c’est aussi à celà que servent nos impôts !
    La crise est une maladie de riche, ailleurs c’est une question de vie et de mort, et la mort même avec tout l’or du monde est inévitable et nous rend égaux !

  4. hkir dit :

    La croissance est un facteur important de l’augmentation du volume monétaire dans un pays mais je ne suis, personnellement, pas tellement favorable à une croissance à tout prix.
    Effectivement, le développement économique tel que nous le connaissons actuellement est souvent un facteur de croissance de nuisances de tous ordres. Quel est l’intérêt de développer à tout prix la possibilité pour certains de nuire à la majorité des autres ? Parce que la réalité est bien là ; c’est une minorité qui en profite.

    D’autre part, les pays favorisant la croissance et le plein emploi le font souvent au détriment de la protection des plus faibles. Même s’il est bien évident qu’en France, nous sommes tombés dans l’excès inverse, il convient cependant de rester mesuré dans la mise en application d’un libéralisme à l’américaine.

    Effectivement,si un problème en France, c’est la création de lois (et leur application) de protection beaucoup trop efficace pour les tricheurs (personnes qui ne payent pas leurs loyers de façon délibérées, personnes qui fraudent aux allocations, personnes qui trichent avec la sécurité sociale, travail dit « au noir », personnes vivant de façon illégale en France, allocataires de prestations chômage indues… ) et ceux qui n’ont pas envie de travailler, il convient cependant de rester conscient que le rôle de l’Etat est aussi celui de modérateur. Nous avons constaté depuis longtemps qu’en général, les périodes dynamiques et les périodes de dépression sont beaucoup plus marqués dans les économies libéralisées à l’extrême qu’en France ou la pauvreté extrême est moins courante.
    Il est possible qu’il soit nécessaire de baisser les impôts des entreprises. Peut-être serait –il préférable de baisser leurs charges salariales pour favoriser l’emploi ?
    Il est possible qu’il soit nécessaire de baisser les impôts des Français ; peut-être serait –il préférable de baisser toutes les taxes et les prélèvements obligatoires à la source qui ont bien souvent un impact supérieur sur leurs revenus et leurs dépenses (sauf sur les carburants routiers qui eux, bien sûr, ne sont pas vendus assez cher).
    D’autre part, je ne pense pas que le bonheur soit uniquement lié à la possibilité de consommer davantage, bien au contraire. Beaucoup de parents seraient bien avisés d’en informer leurs enfants qui ne pensent qu’à avoir des objets de marque ou la dernière merde à la mode.
    La flambée délirante de l’immobilier est aussi lié à la protection excessive des mauvais payeurs (beaucoup de propriétaires souhaiteront louer le jour où ils auront la certitude de pouvoir éjecter les mauvais payeurs sans procédures délirantes) et à une tolérance excessive de l’Etat vis-à-vis des contribuables automobilistes (Est-il normal également d’avoir la possibilité de retirer de ses revenus une somme d’autant plus importante que l’on a une voiture grosse et donc polluante) qui peuvent se permettre d’aller habiter à parfois plus de 100 Km de leur lieu de travail et ainsi réduire de façon drastiques leurs impôts ? Quand il est plus avantageux de louer en ville que d’acheter à la campagne, cela évite de créer des banlieues jusqu’au fin fond de la Brie.

    Le contrôle de la monnaie est désormais centralisé au niveau européen ; la dérive des prix est parfois plus liée à un manque de vigilance des consommateurs qu’autre chose. Si je trouve quelque chose trop cher, je n’achète pas.

    Quand à la protection de notre identité, cela commence par la langue et là, je crois que nous sommes très mal parti car la défense de la langue n’est plus à l’ordre du jour dans quelque programme politique que ce soit. Mais est forcément mal de globaliser également la langue ? Après tout, en France, combien y avait-il de langues et de patois, il y a seulement 200 ans ?

    • retraitactif dit :

      sages réflexions de hkir. :-e)

    • jms dit :

      J’avoue être assez choqué quand je lis que hkir s’imagine que c’est avantageux de travailler loin de chez soi.
      Manifestement il ne connait pas du tout le problème pour affirmer de telles contre-vérités.

      Je propose de lui donner une leçon. On pourrait souffler l’idée à son employeur l’oncle Picsou de l’envoyer en mission pour quelques mois (pas plus longtemps, il n’est pas habitué, il ne supporterait pas) dans un lieu reculé de l’ile-de-France (disons près de Rambouillet ou de La ferté-allais par exemple), pas trop loin pour n’avoir droit qu’au simple remboursement de la moitié de la carte orange et suffisamment à l’écart pour être obligé d’y aller en voiture.

      Il verrait qu’il n’y a que des sur-couts agravés par les taxes que nous subissons sur les carburants, assurances, péages, …
      Point d’avantage fiscal dans tout cela !

      Mais tout cela c’est secondaire finalement, le plus grave est dans la détérioration de la qualité de vie :
      – rajouter 3 à 4 heures de trajet quotidien en plus du temps de travail, voyez ce qu’il reste pour se reposer et je ne parle pas de loisir.
      – la fatigue, le stress, le risque pris sur la route
      – l’absence de vie de famille.
      Au lieu d’être chez lui en début d’après-midi comme actuellement, hkir arriverait péniblement vers 20h30 complètement sur les rotules tout juste bon à quémander un quignon de pain et vite le lit !

      Voila ce que l’on vit tous les jours et que hkir ignore totalement ! nous ne sommes pas des nantis M. hkir !

      Quelqu’un a l’adresse de l’oncle Picsou ?

      • jna dit :

        hkir fait allusion à la possibilté d’opter au moment de la déclaration de revenus, pour les frais réels et de retirer des dits revenus imposables des frais de transports déterminés par barême, d’autant plus « avantageux » qu’on utilise une grosse cylindrée (je parle de ceux qui se déplacent en voiture évidemment).

        Hkir doit être rassuré : les utilisateurs de diesel sont pénalisés à l’occasion puisque leurs véhicules présentent des puissances fiscales inférieures à celles des vehicules essence de puissance moteur comparables.
        La déduction applicable au revenu est donc moins avantageuse pour les diésélistes.

        • jms dit :

          Oui, en lieu et place des 10% forfaitaires mais c’est plafonné à 40km. J’avais opté pour cette formule pendant 2 ou 3 ans pour finalement l’abandonner car ce n’était pas avantageux. On n’y gagne rien de plus sinon la probabilité plus forte d’un contrôle fiscal !

        • hkir dit :

          On ne peut pas avoir tout le temps que des avantages:
          avoir le carburant le moins cher, la formule de calcul énarquienne la plus avantageuse pour le calcul des puissances et en plus gagner sur les frais soi disant réels.

      • hkir dit :

        J’ai longtemps pratiqué les trajets d’ile de france pour connaitre leurs pénibilités (c’est même pour ça que je suis venu habiter ici au bout de 5 ans de trajet Versailles- Chessy) et je suis bien d’accord que c’est très fatiguant. Je fais pendant presque 10 ans à une autre époque 3 heures de trajet quotidien pour me rendre chez mes clients et n’admettais déja pas trop à l’époque cette manie parisienne d’aller chercher les clients à l’autre bout de la région.

        Mais je maintiens que c’est scandaleux d’autoriser les frais réels en fonction de la puissance fiscale d’un véhicule. Si vous devez prendre un véhicule pour aller travailler (et que vous n’avez pas d’autre choix), vous devriez être encourager à prendre le véhicule le plus économique et le moins polluant possible. Hors ce système favorise exactement l’inverse.

        Je veux bien aller à Rambouillet. Je prendrais alors une chambre d’hôtel et la passerais en frais professionnel justifiés. Non , vraiment, l’encouragement par les frais réels tel qu’actuellement autorisé est un avantage indu et pervers source de biens des maux en Ile de France .

        D’autre part, la plafonnement n’est qu’indicatif. Si vous justifiez de « l’impossibilité » de trouver un logement plus proche de votre emploi, vous faites passer n’importe quoi.

        • jms dit :

          Bon on n’écrira pas à l’oncle picsou. D’autant plus qu’une chambre d’hotel à Rambouillet cela couterait trop cher à hkir même après déduction fiscale.
          Le fond du problème est toujours le même, le besoin de nos employeurs de déplacer les gens sans se préoccuper de la dimension spatiale. A l’heure des telecoms, on devrait tous travailler de chez soi. Vive le télé-travail !

          • hkir dit :

            Vous pouvez toujours demander à votre employeur de participer. Tout se négocie.
            Ou bien peut-être préfère t-il payer des frais kilométriques?

          • retraitactif dit :

            un an après,as tu utilisé cette possibilité? 😮
            vers la fin de ma carrière professionnelle je restais parfois à la maison quand la nécessité d’être à mon bureau n’était pas indispensable(faire un rapport,un devis etc..) mais ce n’était pas vraiment du télé travail car je fonctionnais en totale autonomie;je n’avais pas besoin de liaison avec mon entreprise et puis c’était par coups de 1 voire 2 jours maxi.
            dans notre société actuelle je pense que toutes les possibilités technologiques ne sont pas encore assez utilisées.
            d’un autre côté,travailler beaucoup chez soi peut probablement nuire à l’état d’esprit de l’entreprise? :#
            je reste persudé que pas mal de tâches (hein JMS et JNA) ne nécessite pas une présence permanente sur site et de ce fait éviterait des déplacements inutiles ennuyeux et chers.

            • jms dit :

              J’ai pratiqué assez souvent entre 2002 et 2005 (voir mes articles dans le forum sur le télétravail et qui datent de cette époque). Depuis 2 ans, je n’en ai pas eu l’opportunité. Cela correspond à des situations très limitées. Le travail dans notre société reste encore avec des clichés très traditionnels à tous les niveaux (employeurs, clients, syndicats, salartiés, pouvoirs publcs, …) et ce n’est pas encore dans notre culture et je ne crois pas que cela progresse. Le « travailler mieux pour vivre mieux » n’est pas le slogan à la mode, et c’est dommage

            • Korie dit :

              Beaucoup de patrons ne sont pas encore prêts à faire confiance à leurs employés. C’est parfois injustifié et parfois justifié. Tout dépend des individus.

    • jna dit :

      « La flambée délirante de l’immobilier est aussi lié à la protection excessive des mauvais payeurs  » : là je pense que notre ami a abusé du chouchen. Est-ce bien à cause des mauvais payeurs qu’un jeune couple doive payer 149 000 € un F2 de quelques m2, à Crécy ?
      Non, les prix augmentent mais le nombre d’investisseurs n’a jamais été aussi important et ils sont tous prêts à louer leur logement, puiqu’il s’agit de défiscaliser !

      • hkir dit :

        Pour défiscaliser , il faut des revenus (et donc payer des impôts conséquents) sinon c’est assez peu intéressant. Bien des gens sont propriétaires mais ne peuvent défiscaliser parce que leur bien est trop ancien ou pour d’autre raisons et ceux là ne souhaitent pas louer car c’est une vraie galère de se débarrasser d’un tricheur.
        Ceci entraine par effet pervers une hausse des loyers car il n’y en a pas autant qu’il pourrait y en avoir à l’offre.
        Si les loyers augmentent, cela ne peut qu’entrainer le reste.

        • jms dit :

          C’est compliqué comme raisonnement !
          Oui pour défiscaliser il faut du neuf, ce qui incite à construire toujours plus, ce qui est bien. Certes le neuf se loue plus cher que l’ancien ce qui fait monter les prix. Par contre, en effet louer de l’ancien a moins d’intérêt, ce qui devrait faire baisser les prix. Je comprends que pour éviter les « tricheurs » on peut ne pas vouloir louer mais dans ce cas on vend. Donc cela l’ancien devrait être moins cher (c’est le cas) et bénéficier à ceux qui veulent habiter pour se loger.
          Conclusion : le neuf est loué (et cher) et l’ancien est acheté par des propriétaires habitants. Problème : comment fait pour se loger celui qui ne peut que louer à bas prix ? le logement social ! c’est pour cela qu’il y a tant de demande …

          • hkir dit :

            Je constate aussi pour l’avoir étudié, que la défiscalisation favorise les grands groupes immobiliers, les banques, les agents immobiliers, les assureurs. Ce sont également eux qui assurent une augmentation importante des charges pesant sur les logements.

            Vous seriez d’autre part surpris de connaitre le nombre de logements vides qui ne sont que des placements spéculatifs.
            (135000 logements vides rien qu’à Paris et plus de 2 millions en France)

            • jms dit :

              C’est exact ! et c’est vraiment du gaspillage.
              Par contre je ne pense pas que les propriétaires soient des particuliers hormis cas précis (indivisions, héritages, …)

              • hkir dit :

                Beaucoup de propriétaires individuels sont inquiets de devoir recourir à la justice pour récupérer leurs biens. Et je ne parle pas de l’argent des loyers mais parfois les procédures durent des années pour pouvoir expulser un mauvais payeur; il ne faut donc pas s’étonner d’avoir un marché immobilier tendu.
                Quand aux institutionnels, ils ont tout intérêt à organiser ce marché de façon à ce que l’immobilier soit un garant de leurs placements.

            • hkir dit :

              Pour finir, le nombre importants d’acheteurs extranationaux a bien sur un rôle de plus en plus important car l’immobilier en France est plutôt moins cher qu’en Benelux, Angleterre et autres. C’est un facteur important de dynamisation du marché français qui serait autrement atone dans certaines régions.
              Un nombre important de retraités des pays voisins ont choisi la France pour son immobilier à faible budget.
              En contrepartie, des Français partent acheter pour leur retraite dans des pays du nord de l’Afrique.

          • jna dit :

            l’ancien est moins cher … c’est à voir
            Pour revenir à l’exemple du F2, je crois bien en fait que le prix de l’appart Nexity avec parking est de 146 000€ – en parrallèle j’ai vu un logement ancien F2 (45m2) à vendre dans Crécy centre à 144 000€ sans parking (ce doit être au dessus la société générale) … à voir lequel des deux est le moins cher ?

  5. lomig dit :

    Avec 1,2 % de croissance au premier semestre, nous avons la croissance la plus forte de la zone euro !
    Alors c’est grave docteur ?

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