Le vieux loup, les 2 louveteaux, le corbeau et le panier de fruits de mer,

Las, les pendables après peu ne firent pas,
Dans la dentelle, je le crois,
En ne traitant  pas comme il se doit,
Les gens de lettres par la marée agités.

Ceux ci écrivaient,
Qui sur les malheurs du second,
Empêtré dans sa vie privée,
Qui sur les malheurs du premier dans son C.P.E. tout mélangé.

Accrochez vous aux rochers, clama alors le premier,
Laissez moi ramer, déclara le miniaturisé
A tous ces importuns scotchés dans leur pré carré.

Vraiment, le temps était mauvais,
Quand survint l’ultime coup de fouet,
Le feu du mousquet d’airain,
Le coup de chien qui rompit,
Une très fragile embellie.

Un corbeau apeuré, par un zèle mu
Inspiré s’il en fut,
Transmit aux hommes de loi,
Les turpitudes et avanies
que le prime louveteau,
Entendait faire subir à la fratrie.

Un canard embastillé attiré par un compère globalisé
Passa par là
Et par malheur, sur la place publique
Tout s’étala.

A quel fracas alors on assista,
Tout le monde se défaussa et laissa,
Après de savantes contorsions,
Et un silence de gros poissons
les lampistes supporter le poids,
des fléaux de la justice.

Finalement, le bon peuple pu s’esbaudir.
Mais ne cria pas au loup,
Car point n’est bon de hurler avec eux
Quand on n’est qu’un modeste loulou.